Mon protégé // Jordan Bardella x Gabriel Attal

-3 Trop risqué

Pdv: Narrateur

Gabriel doutant de la proposition de son adversaire se laissa chavirer par son doux regard dans le quel il plongeait chaque fois qu'il le croisait

Gabriel: Bon ok, mais on va chez moi

Jordan: Merci Cabriel, tu me sauves

Gabriel: Vous

Corrigea le premier ministre fixant le jeune député

Jordan: Nous en sommes encore là

Gabriel: Oui, nous ne sommes pas amis Jordan

Jordan: Sa je le sais bien, il y'a autre chose

Gabriel: C'est à dire ?

Répondis Gabriel d'un ton innocent

(Je change de mode d'écriture entre deux textes car je trouve qu'on ne remarque pas assez lorsque c'est un personnage qui parle)

Jordan: Es-tu si innocent que sa ?

Gabriel: Je ne vais pas vous le répéter 30 fois c'est vous et non tu

Le premier ministre n'étant pas concentré sur la discussion cherchant sa carte bleue ne comprenais pas les sous entendus de son adversaire, c'est alors que Jordan sorti sa carte paya rapidement au comptoir et pris doucement le poignet de Gabriel encore concentré sur sa recherche

Jordan: J'ai payé, viens

Gabriel se leva ignorant le député qui tentait de le déstabiliser en le tutoyant

Gabriel: Jordan, nous ne pouvons discuter sérieusement sachant que tu est complètement bourré

Jordan: Je le suis pas, du tout

Mais ces mots ne convainquirent pas le premier ministre qui voyait les pas de travers de Jordan

Gabriel: Montez

Jordan: Tutoyez moi s'il vous plaît

Gabriel: Non, je ne vous tutoierez pas nous ne sommes pas amis encore une fois

Jordan: Pourquoi faite vous comme si il n'y avait rien ?

Gabriel: Il n'y a rien monsieur

Jordan: Vous me rendez fou monsieur Attal

Gabriel: Fou ?

Jordan: Je suis dingue de vous

Les mots du jeune député fit rougir les joues de Gabriel qui essayait de le cacher

Gabriel: C'est à dire ?

Jordan: J'ai envie de vous embrassez monsieur le premier ministre

Gabriel: Vous êtes simplement sous l'effet de l'alcool rien de sérieux

Jordan: Je te jure, je passe mes nuits à penser à vous, et quand je réussi enfin à dormir je rêve de vous vous me rendez fou

La tension montait entre les deux hommes politiques alors que la voiture toujours sur le parking du café n'avait toujours pas démarrée, et tout d'un coup, le premier ministre eu un élan de courage, se disant que demain il aura oublié ses paroles

Gabriel: Parce que vous pensez que je ne pense pas a vous ? Vous hantez tout le temps mes pensées, que se sois le jour ou la nuit

Jordan: Gabriel, je vous aime je ne rigole pas de n'est pas l'alcool qui me fait dire sa