Mon protégé // Jordan Bardella x Gabriel Attal

-9 Un débat risqué

« CHIHIRO » Billie Eilish

Pdv - Gabriel

Je pensais à Jordan nuit et jour, il ne m'avait pas donné de nouvelles ce soir là, je ne sais plus quoi penser de lui, le détester ou l'aimer ?

- Bon Gabriel, il faut que tu te concentres si on veut finir avant l'aube

Gabriel - Hm ?

- T'es dans la lune depuis toute à l'heure, ça va ?

Gabriel - Désolé Valérie je suis un peu fatigué j'avais faim, je n'avais pas mangé de la journée, peut être pas le temps ? Pas l'envie ?

Valérie - T'inquiète je comprends, on l'est tous en cette fin de campagne

Gabriel - T'as jamais voulus tout quitter ? Ces mots étaient sorti tout seuls, mon regard croisa celui de Valérie, elle avait l'air inquiète

Valérie - Si bien sûr, c'est normal sa arrive à tout le monde de douter Gabriel

Gabriel - C'est pas sa que je voulais dire, je voulais plutôt dire, fin, je, laisse tomber t'inquiète

Valérie - Explique moi

Elle arrêta ce qu'elle faisait, fixant son regard bienveillant sur moi

Gabriel - J'ai beaucoup d'idées qui me traversent l'esprit, dont certaines bien plus sombres que d'autres Son regard rempli d'empathie ne quittait pas le miens

Valérie - Oh je vois, Gabriel je suis là, si t'as besoin de parler de quoi que ce soit dit moi

Gabriel - Celui que j'aimais m'a blessé, il m'a trahi de la pire des façons, je souffre tellement je ressens un creux dans ma poitrine Valérie posa sa main sur la mienne, toujours en me regardant

Valérie - Ne t'attarde jamais sur des gens qui ne veulent pas ton bien Gabriel

Gabriel - Je l'aime tellement, c'est dur Valérie Je sentais les larmes venir, mes yeux commençaient à devenir vitreux

Valérie - Je sais Gabriel, je sais, pleurs si tu en as besoin, je ne te jugerai pas

Gabriel - Valérie c'est l'homme de ma vie, j'ai jamais ressenti sa pour quelqu'un, pourtant il a détruit une majeure partie de ma vie Mon coeur se serra rien qu'en prononçant ces mots, mes larmes c'étaient donné le champs libre, ce laissant couler sur mes joues devenu rouges. Valérie caressait ma main avec son pouce, sa présence m'aidait beaucoup

Gabriel - Merci d'être là Valérie

Valérie - C'est normal, viens je te ramène chez toi

Gabriel - Ne t'inquiète pas je vais prendre ma voiture

Valérie - Tu ne peux pas conduire comme sa

Gabriel - Ouais, ta pas tords

Nous descendions et parcourions les escaliers et les couloirs sombres de l'Elysée

Valérie - C'est elle, monte

Elle démarra sa voiture, qui fit d'abord un bruit très bizarre

Gabriel - Elle démarre pas ?

Valérie - Non je comprends pas

Je me leva pour sortir de la voiture, une fois devant le capot ouvert je remarque quelque chose de pas normal, pas normal du tout