Mon protégé // Jordan Bardella x Gabriel Attal

- 6 Dispute au sein du parti

          « Pacify Her » Melanie Martinez

Pdv: Gabriel

Gabriel : Bien sûr oui ! Donc vous avez toujours raison ? Vous êtes donc incapable de vous tromper ?

?? : Mais Gabriel vous êtes inconscient ?! Ce n'est pas qu'une simple erreur insignifiante ! Vous avez mis en jeu l'entièreté de notre parti pour quelque chose d'égoïste !

Gabriel : C'est pas comme si les cartes n'étaient pas déjà jouées !

?? : Vous pensez donc que nous ne pouvons plus gagner ? Qu'il faut donc abandonner et qu'il n'y a plus une once d'espoir ?

Gabriel : Oui ! Oui je le pense, à cause de qui ? De ces cons de Bardella et de LePen !

?? : Alors pour ne pas les laisser gagner il faut continuer jusqu'au bout !

Gabriel : Abandons ou non nous sommes déjà foutus

?? : Vous êtes un lâche monsieur, incapable de se rendre compte de son erreur

Gabriel : Non je suis juste épuisé ! Épuisé de me battre pour rien ! Vous pouvez comprendre non ? J'en est marre j'ai tout donné, tout !! Même le président n'y croit plus vous vous rendez compte ?

?? : Le président n'y a jamais cru ! Arrêtez de vous persuader vous même que votre solution est la bonne

Gabriel : C'est peu être la seule qui nous reste ?

?? : Il faut nous battre je vous en supplie, on peut pas abandonner, pas après tout sa, nous ne gagnerions peut être pas mais si on abandonne ça voudrait dire qu'on a jamais cru en nous, en notre projet alors battons nous jusqu'à la fin je vous en prie

Gabriel : J'ai besoin de réfléchir, excusez moi de m'être emporté, au revoir

En sortant du bureau je sentais mes nerfs monter, je n'en pouvais plus j'avais juste envie de tout abandonner, tout.

Marchant dans un des grands couloir de l'Élysée regardant chaque pièce située à ma gauche, un bras me tira dans l'une d'entre elle

?? : J'avais besoin de te parler Gabriel

Gabriel : Jordan ? Mais tu fous quoi ici comment t'es entré ?

Jordan : Ce n'est pas la question, j'avais besoin de te voir Gab-

Gabriel : Mais tu veux pas me lâcher un peu ! Sérieusement je ne veux plus de toi Jordan, je te déteste, tu n'as été qu'une simple erreur dans ma vie

Ma colère remontait alors qu'elle avait réussi à se calmer, Jordan me fixant avec un regard d'incompréhension et de déception, mais je ne pus avoir d'empathie à ce moment là, l'abandonnant dans cette sombre pièce tandis que je continuais mon chemin à travers ce long couloir aussi vide que moi, mon coeur de plus en plus serré à chaque pas, sans me retourner une seule fois..

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                       « TV » -Billie Eilish

Les semaines suivantes ont été très compliqué, entre le travail de plus en plus pesant, des edits d'amour entre moi et Jordan m'empêchant de l'oublier et le stresse des élections Européennes qui se rapprochaient, mon esprit ne sachant plus être calme une seule minute

L'heure du crime passé, mon esprit toujours aussi tourmenté, les médicaments ne me suffisait plus, je vrillais de plus en plus ne sachant plus m'arrêter, mais personne ne m'aidait, personne ou presque

Gabriel : Jordan, réponds moi s'il te plaît je suis désolé pour l'autre jour, je suis perdu aide moi pitié j'en peux plus..

Sa messagerie, encore et encore, elle résonnait dans ma tête, rencontrant quelques idées bien plus sombre, bien trop sombre pour moi, quand mon téléphone vibra

Jordan : J'arrive Gabriel, je suis bientôt là t'inquiète pas

Ce message tria mes pensées, me calmant petit à petit, m'imaginant déjà dans les bras de celui que je m'empêche de retrouver depuis assez de temps à mon goût..

Jordan : Gabriel c'est moi !

Je me précipita d'aller lui ouvrir, essayant d'esquiver toute sorte d'objet par terre, ne voyant pas grand chose avec ce peu de lumière

Gabriel : Jordan..

Il me prit immédiatement dans ses bras remarquant que sa n'allait pas, mon coeur s'emballa, pour une merveilleuse raison cette fois-ci, ce qui dégagea l'entièreté des mauvaises pensées.

Jordan : Vient, il fait froid dehors

Il me prit la main m'entraînant dans mon immense appartement, bien trop grand pour moi tout seul

Une fois assis dans le canapé, étant presque allongé, nous nous échangions des mots doux, ou un simple silence tellement apaisant lorsque c'est dans ses bras

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Pdv: Jordan

Je ne pouvais plus supporter d'être loin de Gabriel, mon coeur étant vide j'avais besoin de sa présence, me rendant rapidement en direction de l'Élysée (je sais que ce n'est pas possible dans la vraie vie mais c'est de la FICTION n'oubliez pas ça !!) une fois entré, me perdant dans les différents vouloir essayant de retrouver Gabriel, fouillant les différentes pièces, j'en vis une je rentra dedans, quand j'étendis des pas dans le couloir, c'était Gabriel, je lui attrapa le bras

Jordan : J'avais besoin de te parler Gabriel

Gabriel : Jordan ? Mais tu fous quoi ici comment t'es entré ?

Jordan : Ce n'est pas la question, j'avais besoin de te voir Gab- Avant même que je ne puisse finir ma phrase, Gabriel d'un air énervé me coupa la parole

Gabriel : Mais tu veux pas me lâcher un peu ! Sérieusement je ne veux plus de toi Jordan, je te déteste, tu as été qu'une simple erreur dans ma vie

Je n'eus le temps de me rendre compte de ce qu'il m'avait dit qu'il avait déjà repris son chemin, je le regardais, partir au loin, mon coeur lourd, tellement lourd qu'il menaçait de me faire m'écrouler, ma tête me faisait mal, une douleur si forte qu'elle me fit pleurer, les larmes coulants abondamment, je me décidais enfin à sortir de cet endroit, le coeur meurtri par les mots de celui dont j'étais fou amoureux

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L'heure du crime passé, je ne pouvais m'empêcher de penser à Gabriel, à des simples mots qui avaient réussi à me briser complètement, des piques au coeurs me ramenait à la réalité à chaque battements, m'empêchant de respirer correctement, la panique montant en moi, avant que sa ne puisse partir trop loin, je pris mon téléphone pour appeler Gabriel, j'avais besoin d'explication, mais je vis qu'il avait essayé de me joindre en premier, étant en ne pas déranger je n'avais pas reçu de notifications, ses messages étaient des signes de détresse, le pire c'était les messages vocaux, sa voix d'habitude si calme et douce avait prise un ton grave et cassé. Je me dépêcha de le rejoindre inquiété par la situation..
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Un chapitre un peu triste, j'espère qu'il ne vous a pas trop toucher car les prochains chapitres, si j'arrive à bien les réaliser seront pires

J'espère que ce chapitre vous a plu encore une fois 🫶🏻🫶🏻