The end is here

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~Printemps~

Je regarda une image de cerf sur un mur. Je repense à mon baiser avec Ellie. A vrai dire, on en a jamais parlé.

Joël : Isadorra. Isadorra. Isadorra !

Je me tourna vers Joël et Ellie.

Joël : tu m'as entendu ?
Isadorra : non, quoi ?
Ellie : regarde. C'est l'hôpital.
Isadorra : on est enfin arrivés.
Joël : allez, on y va.

On se mit en route vers l'hôpital.

Joël : Hé, vous sentez cette brise ? Vous voyez, un jour comme ça, je me serais aussi sous mon porche et j'aurais joué de la guitare. Quand on aura fini avec tout ça, je vous apprendrez à jouer de la guitare. Ouais, je pense que ça vous plairez beaucoup. Alors, qu'est-ce que vous en dites ?
Isadorra : ouais, ça serait cool.

On arriva dans une ville.

Joël : regardez ça...une autre ville et une autre zone de quarantaine abandonnée.

On passa une grille, puis on entra dans le bâtiment.

Joël : on pourrait passer par là en s'aidant de cette échelle.

Mon père se prépara à faire monter Ellie.

Joël : on y va. Ellie ?

On la regarda.

Joël : Ellie !
Ellie : quoi ?
Joël : l'échelle, j'attends.
Ellie : ouais...

Mon père fit monter Ellie et elle nous descendit l'échelle.

Ellie : c'est pas vrai.

L'échelle tomba.

Isadorra : qu'est-ce qu'il y a ?

Je mis l'échelle en place et monta. Ellie me prit par la main et m'emmena avec elle.

Ellie : il faut que tu voies ça !
Isadorra : c'est quoi ?

Elle nous fit courir dans le bâtiment.

On entra dans une pièce, sur le mur, il y a un énorme trou et à travers, on y voit une girafe.

Isadorra : ouah.

Je m'approcha d'elle tout en gardant la main d'Ellie dans la mienne.

Ellie : tu fais quoi ?

Je me mis à carresser la girafe.

Isadorra : vas-y, toi aussi.

Ellie caressa la girafe.

Ellie : salut. C'est trop cool.

La girafe partit.

Ellie : ouah, où est-ce qu'elle va ? Allez venez. On bouge.

On se remit à courir.

On monta des escaliers et on arriva sur le toit. On y voit des bébés girafes.

Ellie : oh, merde... ouah. Regarde ces trucs.
Isadorra : alors, c'est à la hauteur de tes espérances ?

On a toujours nos mains enlacées.

Ellie : bon, je suis un peu mitigée, mais... faut bien reconnaître que c'est joli.

Je vu du coin de l'œil qu'elle me regardait. Je souria et déposa un léger baiser sur sa main. Elle rougit légèrement.

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