L'épouse idéale

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Hélia se réveille de très tôt ce matin toujours blotti dans les bras de son mari , elle sourit faiblement en le regardant dormir comme un ange tout en repensant à la soirée d'hier quand Isabella lui a posé la question sur les enfants la blonde avait senti comme un coup sur le cœur le sujet des enfants étaient très douloureux pour elle c'était pour Hélia un problème qui l'empêchait d'avancer dans la vie. 

Elle imaginait les traits de leur enfant en regardant Gabriel, Hélia voulait qu'il lui ressemble un beau brin avec de jolies yeux verts et des cheveux noir Elle désirait à plus profond d'elle deux jumeaux une fille et un garçon. Leur vie tout les quatres serait merveilleuse mais ce n'est qu'un rêve...elle savait bien que c'était loin de la réalité malheureusement.

Quand elle allait se redresser pour se lever , les bras puissant de Gabriel l'a retient fermement contre lui en grognant ce qui fait rire Hélia.

- il faut vraiment que je me méfie de toi quand tu dors. Lui dit elle en riant

Il ouvre ses yeux en embrassent ses cheveux puis son front suivie de son nez et enfin il lui donne un langoureux baiser , de toute sa vie Gabriel ne sait jamais senti si apaisé et tranquille depuis que sa femme avait partagé sa vie le mercenaire avait beaucoup changé et il ne voulait pas devenir comme avant.

- C'est un plaisir de se réveiller devant le plus visage du monde celui de l'amour de ma vie Hélia Atraz. Dit il d'une voix rauque

Elle rougit en l'embrassent tendrement, Hélia pensais toujours à hier la classe d'Isabella ne l'avait pas quitté la blonde était émerveillée par une telle grace et féminité et secrètement elle voulait être comme elle pour honorer son mari .

- à quoi pense tu ? Lui demande Gabriel en se mettant au dessus d'elle

Hélia prend une grande inspiration en se levant elle passe une main dans ses cheveux hésitante à ouvrir de nouveau ce sujet.

- J'ai...j'ai besoin d'aller voir un gynécologue je dois me faire suivre pour ..

Elle se tut en ferment ses yeux Gabriel avait totalement oublié sa maladie il s'en voulait pour cela , il a toujours été au petit soins avec elle mais depuis son retour et avec tout ce qui c'est passé le problème de son épouse l'avait passé par l'esprit.

C'est douloureux pour elle , Gabriel était bien conscient il devait agir pour ne plus voir son soleil triste.

- Le temps passe et j'ai peur ..avec le temps ça va s'empirer je crains ne pas y arriver. Dit elle tristement

- Hélia..nous allons y arriver ensemble je suis là pour toi mon amour je ferai tout pour que tu sois heureuse nous allons chercher le meilleur médecin traitant et je suis sûr qu'on aura de bons résultats. Dit il avec un petit sourire

Gabriel l'a ramène à ses jambes où elle s'installe en farouche , il passe une main sur ses beaux cheveux tout en caressant sa joue.

- je t'aime tu le sais n'est-ce pas ?

- oui ..et moi aussi je t'aime tellement. Dit elle d'une voix douce

Plus tard dans la journée, Gabriel travaillait dans son bureau en essayant de traquer son père grâce à ses talents de traqueur il a pu trouvé plusieurs résidences et garages qu'il contient alors la seule idée pour qu'il revu en Italie c'est d'attaquer ses propriétés et voler sa marchandise.

- entré. Dit il quand on toque à la porte

- je te dérange ?

- pas du  tout viens mon amour.

Hélia entre dans ce vaste bureau avec un plateau comportant une part de gâteau au pomme le préféré de son mari et leur rencontre était grâce à ce gâteau, en le déposent sur le bureau la jeune épouse regarde l'arme posé elle la prend dans ses main en l'a détaillant.

- je n'ai jamais vu une  arme de toute ma vie . Dit elle quand Gabriel l'a rejoint

Gabriel lui enlève de sa main délicatement en l'a mettent dans un tiroir puis il l'a rejoint en l'a déposent sur la table du bureau.

- je ne veux plus que y touche tu m'entends ? Dit il contre son front avant de l'embrasser

- d'accord. Dit elle en ferment ses yeux

- je sens que tu veux me dire quelque chose.

Elle ouvre les yeux en les braquent dans le vert de son époux.

- Si tu ne m'avais pas croisé à la boulangerie de mes parents, si on s'est pas marié ? Qu'allais tu faire dans ta vie ?

Gabriel l'a regarde un peu surpris de cet question puis répond.

- je serai resté un homme malheureux qui n'a aucun objectif dans la vie un homme vide avec un cœur meurtri et une âme blessé un homme qui allait vivre dans l'obscurité à jamais. Dit il d'une voix rauque

- Tu penses que je suis l'épouse idéale pour toi ? Je veux dire qu'est-ce qui t'a laissé accepter ma maladie et me faire partie de ta vie ?

Gabriel l'embrasse fougueusement en savourant le délicieux goût de ses lèvres fines leur langue se rencontrent enfin provoquant un incroyable danse endiablé, il lui remonte la robe toute en caressant sa cuisse.

- je n'oublierai jamais cette demoiselle qui m'a capté en un seul regard derrière la caisse , qui m'a sourit en me proposant une part de gâteau au pomme qui m'a donné un autre goût à la vie et un espoir de vivre heureux tu es apparu comme une lumière dans ma vie je t'ai aimé pour ce que tu es Hélia je n'ai jamais à quelque chose d'autre quand je t'ai rencontré mise à part que tu deviens mienne . Dit il en se séparent de ses lèvres

Sa main remonte tout le long de sa cuisse jusqu'à arriver à son intimité qu'il se débarrasse de son string et qu'il caresse provoquant un gémissement a Hélia qui écarte ses jambes en jettent sa tête en arrière.

- Tu es la plus belle des épouses et la meilleure d'entre eux je t'interdis de te défavorisé ainsi . Dit il en suçant son cou

Il l'a pénètre avec ses deux doigts en fessant des va et vient lent et délicieux, les gémissement de sa femme l'encourage à aller encore plus vite mais ne pouvant plus supporter cette torture Hélia se redresse en l'embrassent ardemment Elle enleva sa robe et défait la chemise de Gabriel qui râlait en caressant ses fesses , Hélia enlève sa ceinture toute haletante alors que son mari dévorait ses seins Il ne reste pas longtemps à libéré son membre en l'a pénètrent enfin ils se laissent aller par la vague d'orgasme et de jouissance.

Gabriel s'installe avec son épouse en farouche sur son fauteuil toute en l'embrassent, heureuse Hélia laisse une larme de joie quitter ses yeux qui se mêle à leur baiser .

- Je pense que nous devons remercier ce gâteau au pomme de nous avoir réuni. Dit elle en riant

- ce n'est pas le gâteau au pomme qui nous a réuni Hélia, c'est le destin qui nous voulait l'un pour l'autre .

Le retour de Gabriel AtrazOù les histoires vivent. Découvrez maintenant