Attaque

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Deux jour après, Hélia était dans la chambre qu'elle avait choisi pour son bébé la jeune femme voulait y croire à ce rêve en préparant cette chambre même si ce rêve était lointain elle sent qu'avec la décoration il sera plus proche.

Elle avait choisi le mobilier mais aussi la peinture et maintenant elle installait la literie d'un bébé quand elle sent une présence derrière elle , en se retournent Hélia trouve Roslov au cadre de la porte .

- Bonjour monsieur Broski si vous cherchez Gabriel il est sorti ce matin . Dit elle en souriant

- je ne suis pas à la recherche de Gabriel au contraire je suis venu vous parlez . Dit il en entrant avec sa canne effrayante

Hélia déglutit faiblement en le regardant avancer vers elle le regard sombre , elle soupire en serrant les poings pour lutter contre cette peur qui l'avait envahie .

- Gabriel n'est pas conscient du danger dans lequel il est , il pense que tuer son père est simple comme tuer une mouche mais ce n'est pas le cas. 

- que voulez-vous dire ?

- vous pensez que vous pouvez établir une famille dans ce monde ? Vous vous trompez ma chère Hélia même si votre amour se lis dans vos yeux ça ne sera pas suffisant pour survivre dans ce monde .

Il avance vers elle en jettent un coup d'œil sur le lit du bébé. 

- Gabriel est un homme heureux je peux le constater par son regard il n'est pas le même qu'il cinq ans et cela est grâce à vous , sauf que si il vous arrive du mal je ne sais pas ce qu'il va lui arriver et je ne veux pas qu'il sombre .

- je serai toujours avec lui je l'aime beaucoup. Répondit Hélia sur la défensive

- même en le voyant s'immerger dans ce monde ? Ne soyez pas si sûre Hélia personne dans l'organisation ne peut garantir sa vie encore moin Gabriel.

- vous essayez de me faire peur ? Pour convaincre Gabriel de tout arrêter et rentrer à Brooklyn ? Croyez moi monsieur Broski c'est ce que je souhaite mais je le vois heureux ici comme un poisson qui est retourné dans l'eau et pour son bonheur je suis prête à tout. Répondit Hélia d'une voix déterminée

Roslov l'a regarde longuement en souriant au coin, Hélia ne sait même pas entendu dire ces mots mais elle était sûre de ce qu'elle disait.

- Bien, alors vous devez vous apprêtez à une guerre sans fin celle de Gabriel et son passé. Dit il en l'a dépassent pour sortir

Le soir, Gabriel entre enfin chez lui toute la journée à travailler pour trouver au moin une trace de son père ce dernier était toujours en Italie et plus précisément en Florence Le marcenaire avait tirer trois balles de feu à chaque garage qui lui appartient mais c'était toujours insuffisant pour lui .

- Bonsoir signore. Dit Martha

- Bonsoir, où est Hélia ?

- depuis que je l'ai laissé dans la chambre du bébé elle n'y est pas sortie .

Gabriel sentit que quelque chose n'allait pas dans la voix de Martha , alors il se dirige vers cette chambre pour chercher sa femme . Elle était assise par terre à plier des vêtements pour bébé, Gabriel sent son cœur se brisait à cette image si les dires du médecin ne seraient pas vrai sa femme serait anéanti.

- Gabriel..enfin rentré . Dit elle en se levant

Elle court dans ses bras alors que son mari l'a serre fermement, Hélia avait réfléchi toute la journée au paroles de Roslov même si elles paraissent effrayante l'épouse était prête à affronter cette tornade qui s'avère forte sans savoir où elle allait se trouver après de moins ce qu'elle espère Gabriel serait avec elle.

- comment vas tu ? Demanda Le marcenaire en se détachant d'elle

- je vais bien , dis moi si ça te plaît. 

- c'est magnifique Hélia tu as fait un excellent travail. Dit il en regardant autour de lui

Elle sourit en se blottissant dans ses bras toute heureuse et comblé quand soudain des tires et des cris s'entendent dehors , une balle à feu franchie la fenêtre de la chambre où la chambre y était.

Hélia cri de peur alors que Gabriel l'a porte dans ses bras en l'emmenant dehors, il l'emmène vers la chambre où il l'a laisse dans la salle de bain enfermé.

- Reste ici et ne bouge pas essaie de ne pas faire du bruit et surtout ne sort pas jusqu'à ce que je vienne te chercher . Ordonna Gabriel

- non je viens avec toi je ...

- tu reste ici Hélia ! Cria t il avant de fermer la porte à double tour

Sans tarder, il prend son arme et se dirige dehors pour affronter les hommes de son père Gabriel devait être prudent ses hommes ont infiltré la maison en se promenant dans les couloirs alors le Marcenaire se met en haut et commence à tirer sur les ennemis, il saute vers le deuxième étage où il continue à tirer ces hommes sont venus à son aide et ceux de son oncle aussi .

Des bombes , des tirs et l'odeur du feu envahissent la villa Gabriel avait lutter de toute sa force mais c'était sans fin son père avait envoyé une armée pour en finir avec lui . Il était toujours entrain de tuer quand il reçoit une balle sur son épaule, il râle de douleur en voyant déjà le sang coloré sa chemise blanche Roslov était à son secours il l'emmène vers une cave pour le sauver .

- calme toi Gabriel je vais t'enlever la balle soit patient . Dit il en déchirant sa chemise

- H..Hélia...

- je pense qu'elle est en sécurité il faut que je te sauve maintenant.

Il était sans force et il devait céder mais il pouvait pas s'empêcher de penser à Hélia qui était toujours en danger la haut , deux heures plus tard les hommes de Roslov et de Gabriel avaient réussi à tuer tout les hommes de Mario . En entendant ce silence qui fait peur Hélia sort de la salle de bain en avançant prudemment vers dans la chambre puis elle entend des pas vers elle la respiration bloqué la blonde reste stoïque en entendant ses pas qui se rapprochent de plus en plus quand soudain Roslov fracasse la porte avec Gabriel endormie dans les bras qui était blessé.

- Gabriel ! Que c'est il passé ? Demanda Hélia effrayé

- une balle à traversé son épaule je l'ai retiré et bander la blessure il doit se reposer maintenant. Répondit Roslov en le déposent sur le lit

Hélia rejoint son mari qui avait le visage pâle en sueur , elle pose sa main sur son visage qui brûlait d'une fièvre.

- voilà ce que je disais ce matin et ce n'est que le début. Dit Roslov en sortant de la chambre

Le retour de Gabriel AtrazOù les histoires vivent. Découvrez maintenant