Chapitre 2

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8h00am
Nous arrivons à la Casa de los Sandova.
Un des gardes qui surveille l'entrée s'approche de notre voiture et fait signe à mon grand frère de baisser la fenêtre.
-Monsieur Gabriel. Votre père vous demande à son bureau. Il me fait aussi dire que Adrian, Axel Sierra et Noah doivent aller lui chercher tout les documents concernant les Scott au sous-sol.
-Mon père?.
s'étonna mon frère
-Pardonnez-moi je voulais dire, votre beau-père.
se rattrapa le garde
-Vous me rassurez. Maintenant retourner à vos affaires.
répondit-il sèchement
Gab se retourna vers moi puis me dit
-Sierra, oublie les documents. Tu vas me chercher la clé pour l'entrepôt des voitures. Je les ai laisser hier soir, dans ton bureau. Dans le deuxième tirroir du bas à gauche.
Aller maintenant tout le monde au boulot.
Je lui fait un signe de la tête pour lui démontrer que j'ai compris.
Je sort de la voiture et je me précipite à l'intérieur. En entrant dans mon bureau je voit une lettre sur mon bureau.

Bizzare. Elle n'est pas signer.
J'ouvre la lettre:
« Pour Sierra.
Je te vois, je t'observe et je sais où tu es.
Sa ne sert à rien de te cacher, car que tu le veuille ou non, je te retrouverai. N'en parle à personne ou je sévirai. » -lui
Euuuhhh, c'est quoi! ce! bordel!??
Je referme la lettre et au même moment
Gabriel entre dans mon bureau.
Oh! Il a l'air furieux..

-Qu'es-ce que tu fou putain! Je t'es demander une seule chose. Une seule!
me hurla mon frère
-Je sais mais-
-Il n'y a pas de mais qu'y tienne. J'en ai marre Sierra, on peux jamais rien te demander! Grandi un peu!
Je me lève de ma chaise et m'approche de lui
-Je suis désolé de pas être la sœur parfaite! La sœur qui t'obéis au doigt et à l'œil.Si seulement tu serais ce que c'est d'être la petite sœur. Tu es constamment entrain de me dénigrer. J'essaie de faire de mon mieux et personne ne m'aide jamais. Je doit toujours me débrouiller seule, j'en ai marre!
hurlai-je, furieuse

-Ok! Je ne pourrai jamais comprendre ce que c'est d'être la plus jeune ou simplement ce que c'est d'être une fille.
Mais tu dois savoir que quand j'ai appris la mort de maman, j'ai ressenti une douleur atroce au cœur. C'est comme si il ne battais plus ou du moins plus assez pour faire fonctionner mes organes. Comme si que mes poumons ne contenait plus assez d'air pour me permettre de respirer. J'ai ressenti pour la première fois ce que c'était de perdre quelqu'un..
Après sa, je me suis mis à croire que c'était de ta faute si elle n'était plus là.
m'avoua t-il
-Au fond je sais que tu n'y est pour rien. Je n'est pas été juste et tu ne mérites pas tout sa. Pardonne moi..
-Je ne s'avait pas tout sa. Sache que je te pardonne. Mais tu dois me promettre de ne plus recommencer.
lui dis-je
-Je te le promets.
me répondit Gab

Je lui souris et il pris la clé dans le tiroir.
Avant de sortir, il s'arrêta et me dit:
-Dépêche toi! La réunion va bientôt commencer.
-Ouais, ok j'arrive dans 2 minutes.

La vie d'une SandovaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant