Le 221 B

Chapitre 2: Le meurtre

Arrivés devant le 221B, l'on pouvait sentir cette odeur désagréable de maccabée
-"Je crois que je vais rester dehors, monter la garde avec Scherlock." me dit Julien d'une voix légèrement tremblante . Quelle bande de tapettes ses deux là . Depuis que je travaille avec Julien, Sherlock devient de plus en plus trouillard.

Je monte à l'étage , et, qu'elle ne fut pas ma surprise, lorsque je vis le mur du couloir s'ouvrir devant moi. Il y avait une pièce secrète dans le musée. Elle est dépourvue de lumière. Toute l'équipe était déjà là, entassée dans cette petite pièce. Je vis Joséphine, c'est le médecin légiste. Scotland Yard fait toujours appelle à elle, c'est la meilleure.
-"Ils ont encore fuit la scène de crime ? Me dit-elle en parlant de Julien et Sherlock
-Oui. Dis-je. Ils sont pires que Samy et Scooby dans Scooby-Doo !"

Elle retourna vers le corps. Enfin s'y on pouvait appeller cela un corps. 6 parties. 6 parties distincts qui baignent dans une marre de sang et de boyaux : la tête, les deux jambes, les deux bras et le tronc. Sur le mur du fond, écrit en sang, il y avait une suite de chiffres : 13 15 18 9 1 18 20 25.
-"Avec autant d'informations le meurtre était prémédité. Dis-je"

L'équipe scientifique sort, déçu de n'avoir trouvée aucune empreinte adéenne. Je suis seule avec Joséphine, et l'on regarde la scène de crime avec méditation. Pour nous c'était de l'arts. Le corps, le sang était le tableau, les indices sa signature. Joséphine mis les différentes parties du corps dans des sac en plastiques, pour mieux les observer en labo.
-" Je te donnerai les informations, sur la victime dès ce soir . L'équipe scientifique a pris des photos de a victime . On les a envoyé au journal pour que les proches le reconnaissent. Me dit-elle.

Lorsque Julien vit les parties du corps dans les sac en plastiques , il faillit s'évanouir. Je l'emmène avec moi, on doit interroger la propriétaire du musée. C'est une femme rustre, imposante d'une soixantaine d'années qui s'appelle Hugette. On s'installe à son bureau et commence l'interrogatoire.
-" Connaissez vous l'existence de cette pièce secrète ?
- Non. Dit-elle sèchement
- Reconnaissez vous la victime?
- Jl'ai pas vraiment r'gardée.Quand mon musée va rouvrir, jperds d'l'argent là!
- Lorsque l'enquête sera finit ."
Je décide d'en rester là. Julien, lui reste septique.
-"Je suis sûre qu'elle en est pour quelque chose dans le crime! Me dit-il.
- Enfin Julien , elle a 60 ans et a de l'arthrose, elle n'aurait jamais pu faire cela.
- Les plus vulnérables sont souvent les pires assassins !"
Pour le calmer , je décide de lui confier la suite de chiffres. Il fit une grimace.
-" J'ai jamais aimé les maths .
- Ce n'est peut être pas des maths, mais un code ."
Une question me hante l'esprit. Comment l'assassin connaissait il la pièce secrète si même la propriétaire en ignorée l'existence ?

Le soir venue, pendant que je lis près de la cheminée avec Sherlock à mes pieds, le téléphone sonna . C'est Joséphine, elle m'apprend les informations suivantes :
La victime était un homme âgé de 42 ans environ, il a été tué vers 3 heures du matin . Les membres ont été découpés dans l'ordre suivant : jambe gauche, jambe droite, bras droit, bras gauche, et, pour finir la tête !
La victime décède après la section de sa deuxième jambe. Il possédait deux tatouages: un "Sherlock Holmes" sur le bras droit et le profils du détective dans le dos . Le journal a précisé la présence des tatouages.
-" En tout cas l'assassin voulait le faire souffrir . dis je .
- Oui, la victime a aussi été dopée , elle ressentait la douleur , mais elle était paralysé ."

Julien ne trouve toujours pas la réponse de cette suite de chiffres.
-" J'y ai passer la nuit en vain ! me dit il.
- Ce n'est rien je suis sûre que tu vas percer ce mystère Et puis j'ai déjà avancée dans l'enquête .
- Qu'as tu trouvé ?
- Le coupable n'as pas l'air d'aimer Sherlock Holmes.
- Comme la propriétaire ?