Chapitre 2

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Je suis rentrée chez moi, le chemin était long. J'ai toujours mon bras qui me fait mal. Je fais en sorte que mon bras sois soulagé par un gant froid, sa calme la douleur mais elle est constante. J'ai une trace noire apparait se fait de plus en plus voyant. Calme-toi Bérénice, plus je vais stressé plus ça va empirer c'est de plus en plus dure de supporter la douleur, il faut que je prenne sur moi. Je vais dans la salle de bain, je mets ma main sous l'eau et passe du savon sur les traces noir. Impossible ça ne part pas. PIRE elle se voit de plus en plus. Il faut que personne ne la remarque sinon je suis morte. Je vais prendre une douche on va voir si avec le savon si la trace s'en va.

Je ne sais pas à quoi ressemble cette marque mais la douche n'a rien arranger, je vais la laisser sinon je ne vais plus sentir mon bras. Un gilet suffira pour le cacher. Ça fait un mal de chien. Mais qu'est-ce qui se passe ? Ce monsieur Letour sait quelque chose et à mon avis il ne va pas m'en dire plus. Il faut que je sois méfiante avec lui surtout envers ceux qui voudront quelque chose de moi maintenant que ce truc est en train d'apparaitre. Il faut que je le revois il n'est pas question que je le lâche il me doit des réponses. Il était beaucoup trop bizarre. Je recommence à paniquer. J'espère au moins que cette marque sera au moins à mon gout. Mais le plus dur sera de surmonter la remontrance de maman, et la connaissant elle ne va jamais me pardonner. Reste calme Bérénice, reste calme. Tout le monde est rentré, c'est les mêmes conversations, un récapitulatif de la journée de chacun et l'humour familial est présentent Je fais semblant d'être là, mais je suis très inquiète et il faut que je ne dois rien laisser apparaitre sur mon visage. La douleur diminue, est-ce que c'est une bonne nouvelle ? Je ne sais pas, je vérifierai plus tard. Pour le moment il faut que je me calme, ne panique pas, ne panique pas. Il ne faut pas que j'en parle ni à famille ni à mes amis. Enfin si ils le sont vraiment. J'ai vécue beaucoup de choses et je n'ai pas envie d'en parler maintenant mais en tout cas je suis passée à autres choses, j'ai surmonter ce harcèlement. Mais ça m'a rendu plus, je ne sais pas. Je ne sais pas comment le définir. Tous ces évènement qui m'arrive en ce moment deviennent pesant en ce moment je ne sais pas comment je vais faire pour passer la première partie de mon BAC. Et l'année prochaine ça va être le vrai BAC et ce coup-ci il ne faut pas que je foire comme le brevet. Je l'ai eu à un poil de cul, j'ai eu de la chance. Le brevet blanc était tellement dur heureusement le vrai était un tout petit peu plus simple. Bon il faut que je remette les idées en place, déjà que je suis bordelique ça ne va pas le faire.

Monsieur Letour qu'est-ce que vous cachez ? Je dois être discrète, ça je sais le faire mais comment je vais faire pour lui parler sans que sa soit faire en mode cash. Bon je verrai demain, je dois me reposer.

J'ai mal dormis cette nuit, peut-être parce que je n'ai pas arrêté de penser à ça. Je suis arrivée au lycée et comme toujours c'est toujours bouché. J'en profite pour me diriger vers le CPE, je jette un coup d'œil par les fenêtre, il n'y a personne. Peut-être qu'il arrivera plus tard La journée ce passe et il n'est pas à son bureau. Je vais demander à madame Séverina elle doit savoir quelque chose par rapport à Gilles Letour. Enfin le cours est terminé je déteste ces cours.

- Madame Sévérina ?

- Oui, Bérénice ? Elle me répond avec un sourire.

Je déteste son sourire, j'ai l'impression qu'elle se moque de moi. Je dois faire abstraction.

- Je peux vous poser une question ?

- Oui bien sûr, de quoi il s'agit ?

Je dois mentir, fait sortir l'actrice qui est en toi, enfin celle qui est dans mes rêves.

- Monsieur Letour m'a demandé de retourner le voir pour lui apporter des documents important et je n'ai pas réussi à le trouver. Je me demandais si vous saviez ou se trouvait monsieur Letour ?

L'illusion d'un rêve Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant