Épilogue

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Aujourd'hui, je clos cette page de mon journal pour en passer une autre qui sera peut-être remplie d'aventure, de joie, de tristesse, ou bien de frayeur. Mais je clos aussi cette année remplie de bon temps, enfin mis à part en octobre où je me suis fait sermonner par ma mère adorée que j'ai nommée Minerva McGonagall. Ha oui ! J'ai oublié de vous dire que Neville a encore cassé quelque chose, plus précisément son bras, car monsieur est malencontreusement dans les escaliers avec sa valise. Je lui avais dit de demander de l'aide, mais comme d'habitude, il ne m'écoute pas, donc il est tombé, c'est vraiment... Je vais regretter ce que je vais dire, donc je me Tais. 

Nous étions enfin rentrés dans le train. Pour une fois, que j'étais avec Ronald, Harry et Hermione. Ça m'a permis de prendre connaissance sur un potentiel retour de Voldemort, oui, je n'ai aucune honte à dire son nom, car il n'en vaut pas la peine, ce n'est qu'un serial killer parmi tant d'autres. Mais à part cette discussion sur le « Seigneur des ténèbres », nous discutions sur nos futurs projets de vacances en s'empifrant de choco grenouille et de jelly belly qu'on avait acheté dans le poudlard express  une heure auparavant.

- Moi, je pars en direction de Scottland avec les parents, fit Hermione enjouée. 

- C'est où ce truc ? Demanda Ronald d'un ton bêta.

- Déjà, ce n'est pas un « truc » comme tu le dis si bien, mais un pays, dit Hermione d'un ton légèrement agaçant.

- Mais je ne peux pas savoir ça, je te rappelle que je suis un sorcier, dit Ronald.

Je levai les yeux au ciel.

- J'espère que tu le fais exprès, Ronald, à part si tu as un cerveau d'un troll des montagnes.

Il rumina de son côté.

— Bon, je te laisse ruminer, Ronald, moi, je vais voir mes amis.

Je me levai en sortant avec un sourire narquois. Quand je sortis du wagon je percuta pour une énième fois La fouine j'ai nommé Malfoy.

- Encore toi, ma parole, dit-il en bougonnant.

– Ton père en entendra parler, dis-je en me moquant de lui.

— Je ne te permets pas, Amber, il rumina.

Puis je le poussai, car il gênait mon passage.

La fille de l'ombreWhere stories live. Discover now