À Toi🍓

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Elle: Sois pas hystérique, c'est la première fois que tu vois une trans putain? Réplique Ketia rudement.

J'ai l'habitude de les voir dans des films et magazines bien évident, mais face à face, c'était encore du jamais vu.

Cette fille était en face de moi, avec une forme de seins bien arrondies sous son décolleté, et pourtant elle avait une véritable queue en bas.

Elle: À voir ta bouche baveuse, on dirait t'es en appétit sexuel ou je me trompe? Remarque-t-elle avec hardiesse.

Moi: Désolée, j'étais pas au courant de ta transsexuelité.

Elle: J'avais demander à Maria d'être discrète sur ce sujet, ça te pose un problème ? De toute façon, c'est pas tes oignons... Enfin bref, je crois si tu continues de me fixer comme ça tu vas me faire bander. Donc, vaut mieux pour toi que tu sors et me laisser pisser. J'avais envie d'obéir, mais je suis restée figer.

Sans gêne, elle lève sa longue queue pour uriner alors que je la regardais encore. Quand elle finit, de suite, elle commence à se branler sous mes yeux. Sous peu, sa bite se met à grossir, elle devient dure et épaisse. Elle est énorme. Et moi troublée par tout ça, je sens l'envie me monter.

Ericka non ! Résonnai-je en moi.

Je la vois abaisser le couvercle puis s'assis dessus en continuant son mouvement d'aller et venir. Elle le fait par exprès sachant bien que je suis une hypersexuelle, j'en suis sûr. D'un coup, j'ai eu envie de la prendre comme dans mes fantasmes. Mais non, il ne faut surtout pas ça !

Elle: Tu es encore là, tu voyeurises maintenant hein... Bon tu veux quoi? Ça t'étonne de voir une femme avec un sexe d'homme. Je sais que tu me déteste et moi, encore plus. Si tu penses à me juger, Sois consciente que t'es pas mieux... Et laisse moi me branler là. Tu ne vois pas que je cherche un plaisir solitaire et ta présence est gênante.

Moi: Je... Je suis désolée. Ketia...

Elle: Tu vas me dire que tu as envie de me sucer? Benh, fait le ! Facilite-moi la tâche. On voit bien que tu aime mon gros mandrin, tes yeux ne veulent pas s'en détacher. Dit-elle crûment.

Moi: N'importe quoi... Je vais rejoindre Maria. Dis-je toute embarrassée.

Elle: Si tu veux, mais elle est occupé... Répond-elle. Continue de regarder plutôt cette bite énorme qui attend ta langue pour venir l'explorer... pourquoi ne pas t'agenouiller et commencer l'exercice dont t'as tellement envie ma petite Ericka.

Elle est vraiment culotté celle là !
J'hesite un peu à l'envie, mais laisse au final ma pulsion lascive me guider et m'agenouille sachant bien que c'est de l'interdit. Après avoir empoigné sa longue queue et l'astiqué avec frénésie, je commence à lécher le long de la hampe comme on le ferait d'une sucette avant de l'enfourner dans ma bouche. Elle avait un petit peu le goût de l'urine.

Elle: Mhmmm... Continue comme tu le fais... Gemit-elle.

J'aspire sa queue et commence un mouvement de bas en haut. Je la pompe de plus en plus vite, avec une certaine avidité.

Elle: Putain, t'es bonne !

Sur le bain de ses gémissements, elle me fait faire une gorge profonde qui manque de m'étrangler.

Elle: Ahh petite salope... T'aime bien ça !

Je prends le plaisir à déguster sa bite. Elle m'insulte avec des mots pleins de salacités en me baisant la bouche.

Elle: Je te baise la gueule jeune salope ! C'est pas ma bite que tu voulais, hein p'tite chienne ! Lâche-t-elle en me prenant par les cheveux.

Elle impose son rythme, plus fort et plus violent. Je sens l'excitation envahit tout mon être.

Elle: Ouais ! Ohh putain ! C'est ainsi que je vais baisé ton fion... Oh yeah...

Elle me gifle avec sa bite avant de me donner une claque au visage. Je sens son gland tressaille et se gonfle, sa respiration devient haletante.

Elle: Ohh putain... Je vais gicler dans ta foutue bouche... Putain aaaaarrrggg fuck !

Elle explose sur ma langue. Je n'ai pas perdu une goutte du liquide chaud.

Elle: Ouais, avale tout petite salope ! Oui, c'est ça. Nettoie moi cette bite.

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Je finis de m'arranger rapidement alors que Ketia a déjà pris devant et sortir du W.C. Ce qui vient de passer là à réveiller plein de chose en moi. On n'a pas pu aller plus loin, et pourtant je ne m'en plains pas. Ça m'a suffit de lui fellationner. C'était l'un de mes fantasmes.

Je sors et arriver au salon, je vois Maria, avec ses yeux brillants, qui venait à peine de raccrocher son téléphone.

Elle: Avez-vous régler vos différents mes amies?

Ketia: On essaie de nous entendre, après tout on est toutes les deux tes meilleures amies...

Moi: Il le fallait.

Maria: Il était temps ! Je vous aime toutes les deux et je ne veux pas de discordes entre vous.

Ketia: Mais dit donc Mama, je vois que tu es restée longtemps au téléphone à faire la romance à ton amant le patron.

Moi: Et d'ailleurs, il t'a dit quoi pour que cette joie apparaisse sur ton visage ? Rajoutai-je, venant m'asseoir près d'elle.

Maria: Eh bien devinez.

Ketia: Il va enfin divorcer ?

Maria: Mais non ! Tu sais bien que ce n'est pas aussi simple.

Moi: Il t'emmène à Rio.

Maria: Oui ! Bien visé Ricka. On va passer le moment des fêtes là-ba. Il m'a même montré les billets. Sa femme est allée en France hier soir pour son travail, et je ne risque pas d'avoir d'ennui.

Ketia: Je suis contente pour toi, tu es trop stressée dernièrement, faut bien que tu te détentes. Bon, j'y vais.

Maria: Déjà ?

Ketia: Oui ma chérie, je suis désolée mais je dois passer aux magasins tu sais...

Maria: Et retrouver ton cher Valley. Ton amoureux est vraiment chanceux de t'avoir.

Alors comme ça, cette trans a un copain.

Moi: Je vais te prendre ton manteau attends. Dis-je en me levant puis je me dirige vers la chambre où y est le porte-manteau.

Ketia: Je l'avais complètement oublié. Je l'entends soufflé derrière moi.

De retour, je lui remet celui-ci et propose de l'accompagner.

Elle donne une bise à Maria, puis je prend avec elle la direction de la porte. Lorsqu'elle franchit l'embrasure, on se tient en face une dernière fois et je lui donne une bise sur la joue avant qu'elle sorte de sa trousse une carte.

Elle: Tiens, pour si tu veux te faire une belle manucure, pédicure, ou autres soins de beauté.

Moi: Merci. Je pense faire une nouvelle coiffure, alors c'est sûr que je passerai à ton studio.

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À suivre.