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PDV Maria~

On arrive à l'hôtel, mon compagnon règle tout avec la réceptionniste, qui finit par nous remettre les clés avec le numéro de notre chambre. Un employé nous aide avec nos bagages alors que nous réclamons la pièce. Après avoir donné au serviteur quelques sous de pourboire, j'entends un petit claquement de la porte à sa sortie.

Je défais nos valises et mon amant m'aide avec les arrangements.

Terminé, je contemple la pièce, on dirait un vrai appartement. Elle est grande et bien décorée, il y a un grand lit très moelleux et confortable. Bastien s'est chargé de commander des fleurs à ma plus grande joie, elle sentent tellement bon, j'aime le parfum qui dégage. Il prend une rose parmi les bouquets et me l'offre avec un sourire tendre.

Lui: Je t'aime ma perle rare. dit-il debout devant moi.

Il est si romantique, doux, mature... Il m'admire encore quand on frappe à la porte.

Lui: Ne bouge surtout pas petite fée.

Je reste assis sur le lit, je me dégage de ma robe. Il vient plus tard avec des paquets. je lui questionne du regard.

Il me regarde désireux, ses yeux marrons sont flambants. Il m'a fait savoir que ce sont nos costumes carnavalesques qui y sont. Je suis prise d'étonnement, c'est si rapide.

Il les dépose dans un coin.

Lui: Je ne me suis pas trompé, ce soutien-gorge te va à la perfection et ce string rouge est très sexy, je vais te l'enlever avec ma bouche.

Il prenait le plaisir de m'acheter mes sous-vêtements et  ils sont tous très sexy. il adore le rouge, c'est pourquoi j'ai choisi cet ensemble en venant, ça évoque la passion.

Moi: Ça te plaît ?

Lui: Oh oui.

Je me lève et détache sa chemise alors qu'il détache mon soutif, puis l'ôter rapidement pour laisser libre à mes seins généreuse. une fois fait et que sa chemise est jetée sur le sol à son tour. Il plonge sur mes lèvres et commence à m'embrasser avidement en me palpant les seins, je réponds à ses baisers torrides, ma bouche est en feu et mon cœur bat très vite. nos langues s'entremêlent et il me suce les lèvres l'un après l'autre, puis la langue et me mordille. j'arrive même a soupirer au moment alors qu'il titille mes tétons, il continue de prolonger chaudement ses baisers et ne me laisse même pas respirer, mon souffle augmente, saccade et ma mouille commence à glisser.

Quand il me libère enfin, mon souffle était déjà très haut. je déglutis, et le regarde provocatrice en expirant. D'un coup, il m'allonge sur le lit et me lance un regard volcanique. Il s'accroupit pour retirer mes talons, ensuite il m'écarte les jambes.

Il me touche sur la culotte, doucement, je gémis. je lance des plaintes. Il continue de dessiner la culotte avec ses doigts qui erre sur les cordelettes, je sens le triangle de tissu déjà bien trempé, mais il n'arrête pas ses caresses visitant mes fesses nues, puis choisi d'enlever finalement de ses dents le sous-vêtement.

À peine fini, il plonge à l'entrée de ma vulve et commence à me lécher de sa langue épaisse, je crie et me tord. quand il appuie fort à l'entrée, il me suce le clitoris et fait des allers retours dans ma zone génitale. Je lui tire la tête alors qu'il mange mon fruit.

Moi: Oui... ahhh...tu.. mon dieu!

Il glisse un doigt puis un autre alors qu'il me suce le clitoris. Il les mouvemente rapidement, je me tords de plaisir, mes lèvres sont devenues sèches à force de crier. Mais il ne s'arrête pas avant que je déborde. Il se lève et porte ses doigts entre mes lèvres.

Lui: Suce.

Je le fais, il me dit que c'est bien, que je goûte mon jus.

Une masse forme dans son pantalon noir bien échancré, je le regarde avec envie. Et je viens le déboutonner puis dézziper la braguette après qu'il ait ôté la ceinture en cuir.

Il m'attache le cou tout lâchement, je le laisse faire.

Lui: Tu veux la sucer, elle est comme ça à cause de toi et pour toi.

Sa bite pointe perpendiculaire, testicules rasée , fraîche, ma bouche est salivé à la vue de ce gland rose, gonflée avec des veines violacées. Sa queue est longue, grosse, épaisse,... je lèche mes lèvres inférieures.

Il tire sur la ceinture et je plonge sur sa matraque qui glisse pile dans ma bouche, je n'ai pas eu besoin d'utiliser ma main, Bastien contrôle les mouvements. Je lèche sa membrane, il grogne.

Lui: Oui...oh ma perle... j'aime comme tu le fais...je t'aime tant.

Au bout de quelques minutes, il m'oblige à aller plus rapidement tirant sur sa ceinture, par moment il me fait faire des gorges profondes, j'ai eu du mal à gober toute la longueur.

Après quelques va et vient encore, il me gifle en sortant sa bite raide, il n'avait pas encore joui. Il me demande de me tourner et de me mettre à quatre pattes sur le lit, je m'exécute à me mettre dans cette position.

Dans un élan, après m'avoir claqué les fesses à deux reprises, il rentre sa queue dans ma chatte dégoulinante déjà bien préparée, j'en ai eu conscience une fois que son tuyau arrive bien à fond.

Moi: Oui... encore cheri... crie-je alors qu'il tire sa ceinture au rythme de ses coups.

Lui: Comme ça hein... tu le sens là...il est bien à fond...

Moi: oui !...oui mon chéri.... tu me baises bien la chatte....

Il va plus vite, je sens mon sexe se remplie, c'est tellement bon, je crie, je gémis, il me dit des mots vulgaires, me dit que je suis sa chienne.

Lui : N'est-ce pas hein?

Moi: Oui ! Je suis à toi...

Je sens qu'il lache la ceinture et sa queue réchauffe en moi, un liquide y déborde, il avait déversé en moi son jus.

Il retire sa queue, et la passe dans l'entrée de mon anus, deux secondes. Il y rentre son pouce et je pousse un cri. Après les quelques va et vient de son doigt, quelques secondes après, je sens sa bite glisser dans mon cul. au début c'est douloureux mais après quelques va et vient, je prends mon pied.

Lui: Tu te souviens quand on l'avait fait au bureau la première fois...tu te plaignais de la grosseur... maintenant tu aimes bien comme ton cul est bien rempli...

Moi: Ouii... tu me défonces putain...

Lui : Je t'aime... j'aime t'entendre hurler comme une pute. ma pute. J'aime te baisé comme ça. T'es bonne...

Moi: Oui...plus que ta femme?

Lui: Plus qu'elle... oh ma perle...

Il me prend par les cheveux, et continue à me prendre brutalement. À mesure qu'il me prenne, je gicle. Je me frotte la chatte affolée.

Lui: Ma fontaine.. ahh... tu la sens ma grosse queue...

Moi: Oui fuck... Fuck ! Fuck !  Aaaarghhhhh...!!! Juis-je en même temps que lui.

Il se retire après avoir laissé couler son sperme dans mon cul, des gouttes y tombent sur le pan du lit.

Lui: Regarde comme tu as trempé le drap propre.

Il me tape la chatte et glisse trois doigts en moi en allant rapidement pour me voir gicler à nouveau, j'ai débordé fort et ça lui a plu.

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À suivre.

À Toi🍓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant