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«J'ai publié ce chapitre en même tant que l'autre qui précède. Attention à ne pas sauter le 18.»

Je suis seul, mes parents s'acharnent au boulot, leurs voyages professionnels se multiplient et ne s'arrêtent jamais. Ils prennent presque plus de vacances. S'il n'y avait pas les employés de maison, je dirais qu'il n'y a plus de vie dans ce château !

?: Voilà, je nous ramène du vin. Entendis-je tout lointain, déjà perdu dans mes pensées, étant appuyer sur le canapé.

J'expire et me défais les cheveux alors que je me repositionne normalement. Mon regard vient de tomber sur le corps presque nu de Carelle pendant qu'elle remplisse un des deux verres sur la table.

Ses cheveux lisses retombent sur sa poitrine, mes yeux descendent sur son soutien en dentelle qui me permet de voir légèrement la pointe de ses seins tentants. Elle me tend le verre à moitié remplie. Je le prend et bois une gorgée du contenu tout en continuant de lire son corps. Son tanga sexy lui va parfaitement. Elle est encore plus à croquer sans son uniforme.

Elle: Vous en dites quoi patron? Lance-t-elle en se servant.

Moi: Pourquoi tu m'aguiches? Ce n'est pas bien les relations intimes entre employé et patron, d'autant plus, tu as plus que le double de mon âge.

Elle: J'aime votre prestance... Commence-t-elle, venant s'installer près de moi.

Moi: Arrête avec les vouvoiement. Je lui coupe. Je ne suis pas mon père, on dirait tu le fais exprès.

Ça fait peu qu'elle a été engagé par mon père, pour se mettre avec Valéria afin d'alléger les tâches. Je ne savais pas qu'elle était...

Elle: Je te trouve pensif, tu penses à quoi ? Questionne-t-elle, touchant ma zone intime sur le boxer froid. Je bois le reste du vin puis dépose le verre vide sur la table.

Moi: Pourquoi tu fais tout ça Carelle?

Elle ne me répond pas, mais dépose son verre à son tour avant de m'ôter le caleçon. Elle dépose sa langue épaisse sur ma queue turgescente. Je la laisse faire, détachant sa soutif.

Elle commence sa fellation goulue, jusqu'à faire des gorges profondes. Je me demande d'où mon père a déniché cette bonniche, dans une maison de joie putain ?

Elle n'attend pas que je jouisse pour se lever et ôter son tanga. Ma pulsion devenait plus encore incontrôlable. Elle était nue devant moi et je la mangeait du regard.

Elle ne tarde pas à venir se mettre sur moi, dos contre moi, et fait entrer elle-même ma bite tout entière dans sa chatte mouillée.

Moi: Putain... Je gronde.

Je commence à titiller ses mamelons et pétrie ses seins volumineux, pendant qu'elle danse sur ma queue ferme.

Elle: Ahh...hmm. Gémit-elle.

Je prend sa cuisse et commence par m'enfoncer dans son vagin, allant plus rapide.

Elle: Je la sens bien à fond, oui, ta grosse queue me défonce bien ! Oui !

Moi: Oh oui?

Elle: Oui oohh... Aaahhh !

Je la baise encore plus vite jusqu'à ce qu'elle eu son orgasme. Elle se lève et se tourne pour se mettre à genoux devant moi afin de s'abreuver de mon jus. Elle aime ça on dirait, une vraie salope !

Alors que je pense à l'enculer, Valéria apparaît dans la pièce. Il ne manquait plus que ça ! Gênante, cette situation.

Valéria: Oh pardon ! Je...je venais juste.... chercher....un verre d'eau... Mieux vaut...je... Marmotte-t-elle avant de  s'enfuir.

*
*

PDV Ericka~

Je n'arrive pas à dormir, je pense trop à cette demie fille, la meilleure amie de ma meilleure amie. Maria, quant à elle, le monde peut chavirer sans problème, elle ne manque pas de sommeil, elle ronfle même.

Je prend mon téléphone déposé plus tôt au chevet et cherche à contacter Alexandre, il faut que j'occupe mes esprits d'autres choses. Je l'envoie vite un message pour qu'il m'informe où en est les recherches sur mon père, espérant qu'il y a quelque chose de nouveau. Je soupire d'inquiétude lorsqu'un message apparaît.

D'Alexandre :

J'allais justement t'appeler, je n'ai rien de concret mais il semblerait que ton père est en ville pour une affaire professionnelle, c'est un juge qui s'est marié l'an dernier avec une femme influente qui a un fils qui, est d'ailleurs, devenu son beau-fils. Et sur qui des rumeurs se propagent d'après mes sources.

De moi :

Tu dois être sûr que c'est réellement lui, je ne pensais pas que ça irait aussi vite.

D'Alexandre :

Moi non plus, tu as eu de la chance... Et si on prend rendez-vous demain, comme ça nous pourrons plus clairement et plus largement discuter de ce sujet si délicat et si important pour toi Ricka.

De moi :

Oui bien sûr, j'ai besoin de tout savoir jusqu'au moindre détail.

*
*

PDV de Ralph~

Carelle finit nettement de me nettoyer mon engin. Je me mets debout et la regarde prendre une position de levrette. Putain ! Je vais avoir le plaisir de le pénétrer par derrière. Conforté, je me positionne à son entrée divine. Elle ouvre ses cuisses sans barguigner. Seule ma bite semble pouvoir calmer sa surexcitation. Elle crie de conserve au moment de la pénétration, à la fois douloureuse par le volume de ma queue et bienfaisante par son envahissement. Une fois que le long de ma verge finisse de glisser dans son cul étroit, elle commence à faire danser ses fesses au rythme de ses coups.

Elle: Aaahhhh... Plus fort...

Moi: Comme ça...

Elle: Ouii... Encore... Enfonce la bien.... Gémit-elle haletante.

Moi : Prend salope, prend la entièrement, tu la sens bien à fond oui... T'aime comme je te défonce....

Je malaxe, pétrie de mes mains ses seins, étire ses mamelons en la défonçant, allant de plus belle dans son cul chaleureux.

Moi : Tu le sens mes couilles.... Yeah?

Elle: Ralph... Ouiii...

Moi : Pour toi... je suis patron... Ok?

Elle : Oui... Ahh... Oui patron...

Je lui saisit les cheveux l'attirant contre moi tout en l'enculant avec vigueur, elle crie de plus belle, et je marmote des mots vulgaires, salaces lors de mes grognements.

Elle : Aaah...Ooh je... je vais jouir.... Aaaaaaaah !

Moi aussi j'allais jouir. Une seconde, ma bite eu des soubresauts et je me suis vidé dans son anus alors qu'elle gicle abondamment.

C'est alors que je réalise que je venais de tromper ma dulcinée, ma Soso... et merde !

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À suivre

À Toi🍓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant