Chapitre 1 : Le Face-à-Face

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Chapitre 1 : Le Face-à-Face

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Chapitre 1 : Le Face-à-Face

Les murs lambrissés de l'Assemblée nationale résonnaient du brouhaha habituel, mais ce jour-là, l'atmosphère était chargée d'une électricité palpable. Jordan Bardella, les sourcils froncés et les lèvres pincées, scrutait Gabriel Attal qui s'avançait avec une assurance mesurée vers le banc du gouvernement.

"Attal," Bardella cracha son nom comme un reproche, chaque syllabe chargée de méfiance.

Attal leva un sourcil, ses yeux d'un brun acier fixant Bardella avec calme. "Bardella," répliqua-t-il, sa voix mesurée mais trahissant une pointe d'ironie.

Ils se tenaient là, sur le point de s'engager dans un duel verbal qui avait le pouvoir de captiver la salle entière. Les députés murmuraient déjà, certains ajustant leurs écouteurs pour ne pas manquer un mot de cette confrontation imminente.

"Je ne sais pas ce qui me déçoit le plus," commença Bardella, les mains serrées sur le pupitre devant lui. "Votre manque de vision ou votre incapacité à reconnaître les dangers qui menacent notre pays."

Attal croisa les bras, un léger sourire en coin. "Vous avez toujours eu un talent pour dramatiser, Bardella. Mais j'aimerais vous rappeler que gouverner, ce n'est pas juste agiter des peurs et crier au danger à chaque coin de rue."

Les caméras suspendues au plafond zoomaient discrètement sur leurs visages tendus, capturant chaque expression, chaque inflexion de voix. Les journalistes, assis en retrait, prenaient des notes frénétiquement, leurs stylos grattant le papier comme un rythme effréné.

"Vous et votre parti, vous vivez dans une bulle d'illusion," riposta Bardella, son regard noir comme la nuit. "Pendant que vous rêvez d'utopies, le peuple souffre des conséquences de vos politiques irresponsables."

Attal haussa les épaules avec un soupir théâtral. "Les utopies, comme vous dites, sont souvent la source de nos plus grandes avancées. C'est grâce à elles que nous avons fait des progrès en matière de droits humains, de justice sociale, et de respect de la diversité."

Les échanges étaient ponctués par les réactions diverses des députés autour d'eux : des murmures d'approbation, des soupirs d'exaspération, et même quelques rires étouffés devant l'échange acerbe des deux hommes.

Bardella planta son regard dans celui d'Attal, cherchant peut-être une fissure dans son armure de sérénité. "La seule chose que vous faites, c'est détruire ce qui rend notre pays fort et uni. Vous êtes un danger pour la France, Attal."

"Et vous, Bardella," répliqua Attal d'un ton plus doux mais tout aussi tranchant, "vous représentez une vision du passé qui refuse d'accepter l'évolution du monde qui nous entoure."

La tension montait comme une vague prête à déferler, mais les deux hommes se tinrent en équilibre précaire, chacun défendant ses convictions avec une passion qui transparaissait à travers chaque mot prononcé. Au-delà des différences politiques abyssales, une respectueuse animosité semblait relier Jordan Bardella et Gabriel Attal, comme deux pièces d'un puzzle politique en perpétuel désaccord.

(j'ai supp mon autre histoire car je la trouvais point intéressante)

(j'ai supp mon autre histoire car je la trouvais point intéressante)

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Entre Amour Et Tension : Quand Les Opposés S'attirent(New)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant