la famille Weasley

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Trois jours plus tard Harry se réveilla des étoiles plein les yeux a l'idée de retourner dans la maison qui était pour lui se qui se rapprochait le plus d'un foyer,d'un lieu rassurant et protecteur...

Et a l'idée de retrouver c'est deux amis de l'école ,l'impatience montait en lui comme le feu dans la gorge d'un dragon.

-" Non de merlin ,il faut que je m'occupe ou je vais exploser..."
Il se leva et descendit l'escalier sans faire de bruit,il savait que son oncle et sa tante se lèverait et que quand ils descendraient ils seraient heureux de voir leur petit déjeuner déjà fait .

-" A tu es lever Harry, installe toi "
Harry releva le regard et croisa le visage chevalin de sa tante devant les œufs brouillés.

-" Oh... Je comptais préparer le petit déjeuner avant que vous ne vous levier oncle Vernon et toi ..."
-" Et bah tu t'est louper sur les deux plans mon garçon."

Harry se tourna brusquement vers la table où se trouvait déjà l'oncle vernon devant son journal.
-" Harry,tu veux un ou deux œufs ?"
Harry ne comprenais rien il regarda sa tante puis son oncle sans obtenir de réponse.
-" Un seul s'il te plaît." Avait t'il répondu presque machinalement en s'installant a table . Sa tante le servi et il commença a manger.

Son cousin Dudley descendit l'escalier de son pas lourd et pesant.
Alors qu'il passait dernière Harry il lui pressa gentiment l'épaule.Harry se raidi subitement peu habituer a ces demonstration de tendresse.Puis d'un coup il compris se comportement inhabituel...

C'était sûrement la dernière fois qu'ils les verrais. Selon le monde magique Harry était désormais majeur et ne serai pas obligé de revenir dans la maison des Dursley .

Malgré le traitement qu'il avait subi ici ça lui faisait un choc de se dire que ceux qui l'avait élevé ne le verrai plus jamais et qu'il ne verrai plus jamais ceux qui l'avait élevé .Les larme lui montèrent au yeux et il renifla le visage pencher vers son assiette.

-" Que t'arrive t'il encore, pourquoi pleure tu ?"
-" Rien ,je me suis rendu compte que je risquais de ne plus vous revoir, maintenant que je suis légalement adulte..."

Tante Petunia détourna le regard , l'oncle Vernon se réfugia derrière son journal semblant soudainement très intéressé par la rubrique nécrologique et Dudley plongea dans son assiette comme pour y trouver un trésor enterré.

-"Vous aller tous me manquer..."
Dudley plongea encore plus dans son assiette, passant presque sous la table, Tante Petunia souris et l'oncle Vernon dit,la voix un peu rauque

-" Ne nous envoi surtout pas de nouvelle,laisse nous enfin vivre normalement."

Harry rigolait doucement et le lui promis sans le penser réellement.

L'oncle Vernon avait laissé Harry devant la gare de King's Cross partant avec un '' bonne vacance avec les sauvages '' il avait encore le vif souvenir de son salon détruit par Monsieur Weasley quelques années plus tôt.

Ron , sa mère,son père,les jumeaux et la jeune Ginny arrivèrent en courent comme s'ils étaient là depuis le début et qu'ils attendaient avec impatiente que l'oncle Vernon parte.

Mr Weasley attrapa les valises d'Harry pour les décaler plus loin,Mme Weasley pris Harry dans ces bras et le serra chaleureusement,Ginny rougit légèrement et Ron s'élança dans un flux ininterrompue de parole bien vite arrêter par Fred et George qui semblait ravi que leur investisseur ai atteint la majorité

-" Comment retourne ton au terrier ?"

-" Tu te souviens de la coupe du monde de quiditch ?"

La première pensée sur ce moment fut : Nous y avions croisés Malefoy.

Mais il était sur que ce n'était pas l'idée recherché alors il dit, peu sur de lui:

-" Nous y étions aller avec un porte au loin."

-" Oui et les plus grand? Charly, Percy..."

- "En transplanant ?"

Le sourire qui s'affichait sur le visage des Weasley lui fit comprendre qu'il avait vu juste.

Le terrier n'avait pas changé, toujours les même bottes devant la porte d'entrée,les même gnome dans le jardin et la même tour biscornu qui servait de chambre a Ron, et occasionnellement a Harry.A peine arrivé qu'Edwige arriva comme une flèche et lui voletat gaîment autour.

-"Bon est si on défaisait t'es bagages Harry ?"

L'ennemi d'hier (drarry)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant