Rendez -vous dans mon bureau

Le débat

Plateau de l'antenne TF1 20h30:

"Monsieur Attal est ce que vous êtes prêt ?"cette phrase fit sursauter le premier ministre perdu dans ses pensées. Voilà quelques temps que ce dernier avait du mal à se remettre de sa séparation avec Stéphane et n'avait  la tête à travailler. Gabriel se retrouvait totalement démunis de confiance en lui et n'avait qu'une envie passer  tout son temps sur les réseaux.Mais ce soir il n'avait pas le droit de montrer ses faiblesses , pas à quelques jours des européennes. Il reprit son souffle , et prit un verre d'eau avec un comprimé d'Atarax .
       Gabriel:"C'est ouvert entrée !"s'exclama t-il d'une voix tremblante.
Une jeune assistante entra et lui fit signe qu'il fallait se diriger vers le plateau. Gabriel l'a suivit et tout à coup il aperçut le visage de celui avec qui il devrait débattre tout au long de cette soirée. Ses yeux s'arrêtent sur la bouche souriante de son adversaire et à ce moment précis une bouffé de chaleur le saisit.
Jordan qui était de nature très calme et professionnel se laissa distraire par le doux regard plein de facination du premier ministre .

Il était à présent 21h et le débat commença.
Pendant de longues minutes les deux candidats ne cessairent de s'envoyer des pics et ainsi voir lequel flancherait le premier . Durant la pause Gabriel parti confronter Jordan.
          Gabriel:"A quoi cela rime t-il Monsieur Bardella ,je vous prie d'arrêter vos sous-entendus immédiatement "
         Jordan:" Arrêtez de jouer cette air innocent j'ai très bien vu que ma présence ne vous avez pas laissé indifférent. Je l'ai vu dans votre regard..... Et votre langue elle frôle vos lèvres quand vous me regardez"

         Gabriel :"Cessez d'analyser mon comportement, je n'ai envers vous qu'une attitude simplement professionnel et tâché d'en faire autant !"
 

     Jordan murmura à l'oreille de Gabriel :
"He bien puisque je suis totalement indifférent à vos yeux vous permettez que je change de chemise dans votre loge. L'assistante a perdu la clé de la mienne."dit-il d'un ton ironique.

Gabriel mourrait d'envie de lui ôter lui même la chemise mais il ne pouvait pas succomber à la tentation après tout il le connaissait à peine..Alors il accepta
        Gabriel:"Bien je suppose qu'il n'y a aucun mal à cela . Je vous en prie...Entrez!"