14 / RENDU PUBLIQUE

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J'étais là, debout au milieu de la scène à la place des deux mariés Selenay et Oktay

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J'étais là, debout au milieu de la scène à la place des deux mariés Selenay et Oktay.

Aysun inconsciente sur le sol à patauger dans son sang à quelques mètres à peine d'où je suis. Personne ne l'avait encore vu.

Ma mère qui était assise à une table me dévisager d'un air inquiet. Elle avait tellement peur qu'en quelques paroles je détruisent sa réputation aux yeux de toutes la communauté.

Tous les yeux étaient rivés sur moi, la musique c'était arreté. Un silence assourdissant ce faisait entendre dans la pièce bondé de monde.

Je me suis donc tourné vers le marié avant de lui dire :

Moi : T'es sur de ton choix frérot ?! T'es sur de vouloir te marier avec une meuf qui paye des gars pour violer des femmes pieuses ?

Les gens étaient tous choqué.
Je me suis donc retourné vers la foule à présent en ébullition qui chercher tous un regard dans l'espoir de comprendre ce qu'il ce passait.

Moi : La famille Demir c'est une famille de chien !

Je parlais en turc et en français pour que absolument tout le monde comprennent ce que j'étais en train de dire.

Que les très vieux qui parlent qu'en turc ou les tout jeunes qui parlent plus le français que le turc comprennent.

Moi : Aysun et Selenay ont payé un homme pour violer une fille voilée de qui elles sont jalouse. Leurs pères fait du chantage au mien pour qu'il lui paye tous ses caprices, voitures, bijoux et j'en passe... c'est une famille de chien !

Selenay c'est écrié, tous dans la salle étaient choqué.

Selenay : MAIS ARRÊT LE PUTAIN ! FAIT QUELQUE CHOSE !

Mais alors que j'étais en train de continuer mon monologue pour expliquer à quel point cette famille été des gens misérable, le marié, Oktay, ainsi que quelques uns de ses amis ce sont levé pour ce jeter sur moi.

Ils ont essayait de me maintenir pour m'évacuer de la salle mais je me suis début, j'ai envoyé un coup de poing dans la mâchoire d'Oktay qui a fallit tomber et j'ai commencer à me battre avec ses deux potes.

Ils étaient deux contre moi mais j'avais tellement la rage que j'en avait rien à foutre, je mettait des coups de pieds, des coups de poings tout en me recevant des coups aussi.

Jusqu'à ce qu'on entendent la mère d'Aysun hurler avec horreur :

- : AYSUN ! À L'AIDE !

Tout le monde c'est arrêté et j'en est profité pour filer par derrière. Fallait que je me barre de la rapidement avant qu'ils appellent la police et que je sois mis en garde à vue pour meurtre.

Devant la porte d'entrée de Sanah je tambourinais comme un malade mental

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Devant la porte d'entrée de Sanah je tambourinais comme un malade mental.

J'avais besoin qu'elle ouvre la porte c'était vitale pour moi. Mais elle ouvret pas.

Jusqu'à ce que sa voisine d'en face sorte et me dise :

Voisine : Elle est partie.

J'ai fait volte-face.

Moi : Partie ou ?

Voisine : Je sais pas. Je sais juste qu'elle est partie et qu'elle a tout laissé. Même son chat elle me l'a donné.

Putain d'sa mère.

Moi : Merci.

J'ai descendu les escaliers en trombe avant de monter dans la voiture et de démarrer comme un fou.

Il fallait que je la vois, que je la retrouve, que je prennes soin d'elle.

Si il lui est arrivé toutes ces merdes c'est de ma faute et uniquement de ma faute. J'ai était son poison.

...

Suite bientôt

(Coucou les filles. J'espère que ça va pour vous, je voulais juste vous dire que l'histoire touche bientôt à sa fin.
Au début de l'histoire j'étais grave motivé je voulais écrire pleins de parties etc... mais vas-y je fais à peine 10 vus mdrr et je galère à avoir 5 j'aimes donc en sah ça m'as grave dégoûté.
Du coup je vais achever l'histoire pour l'achever quoi, parce que j'en est marre tout simplement.
Enfin voilà en tous cas merci aux fidèles lectrices.
Si jamais je vous invités à lire :

Imane : Son boule contre un billet vert.

L'histoire est terminée
Et voilà je vous embrasse bisous.)

Sanah : Ton absence est la pire des présences. TERMINÉOù les histoires vivent. Découvrez maintenant