L'amour avant la politique

Chapitre n°8

Il était 8h08, je venais juste de me réveiller.  Il fallait que je me lève et que je range ma maison car Gabriel Attal venait chez moi pour travailler, on devait faire un travail sur le thème de L'emploie.

J'aspira toute la maison et lava tout la maison également. Cela m'a pris 30 minutes, et oui j'ai été rapide.

Toute la maison était propre, c'était maintenant l'heure pour moi de me préparer.

Je mis un polo Ralph Laurent et un jean bleu marine ( pas skinny évidemment).

J'appliqua de la crème comme chaque matin et chaque soir et me recoiffe.

" Ding Dongg "

Ho mon dieu c'était lui, aller on vas lui ouvrir.

Jordan: Bonjour Gabriel je vous prie entrez.

Gabriel: Bonjour Jordan, merci bien.

Jordan: Vous allez bien ?

Gabriel: Je vous avoue que ca ne me plais pas beaucoup de travailler avec vous monsieur Bardella.

Je m'approcha de lui, posa mes mains délicatement sur ses bras et lui dit.

Jordan: Vous en êtes sur Gabriel ?

Gabriel: J- Je rigola bien évidemment Jordan.

Jordan: C'est ce que j'espérai monsieur le premier ministre.

Gabriel: Heu j- je.

Jordan: Détendez-vous Gabriel, suivez moi.

Nous nous rendons dans mon salon et nous asseyons cote à cote sur le canapé.

Gabriel: Donc j'avais justement pensé à c-.

Jordan: Calmez vous Gabriel on a le temps, vous voulez un café ?

Gabriel: Non merci.

Jordan: Ne vous inquiétez pas je ne l'empoisonnerai pas.

Gabriel: Ha bha alors j'en veux bien.

Jordan: Que vous êtes bête.

Gabriel: Vous parlez au premier ministre la monsieur Bardella.

Jordan: Je ne vous imaginez pas aussi prétentieux.

Gabriel: Et oui.

Jordan: Bon plus sérieusement je vais aller nous faire du café.

Gabriel: Oui merci Jordan, pendant ce temps je vais allumer mon ordinateur.

Je partis dans la cuisine et le vis sur son téléphone entrain de sourire. Je me demandais bien qui ça pouvait être.

Je ressentis un pincement au coeur, pourquoi ai-je ressenti cela ? Je me le demandais bien.

Je pris les cafés en mains et les posa sur la table.

Jordan: Et voilà.

Gabriel: Merci

Jordan: Ce midi on commandera ça ne vous pose pas de soucis ?

Gabriel: Non au contraire.

Jordan: Très bien.

Nous travaillons d'arrache pied toute la matinée.

Nous recevons quelques coups de fils de la part de monsieur le président et Marine Le Pen mais à part ça notre travail commencé à prendre forme.

Jordan: Tenez prenez tout ce que vous voulez.

Gabriel: Je vous rembourserai ne vous inquiétez pas.

Jordan: Il en ai hors de question, ca va pas bien. C'est moi qui paye pour nous. Vous n'avez pas à me rembourser.