le camps des sang mêlés

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je dois avoué que porté deux adolescent jusqu'a une colonie de vancance est plus compliqué ce que qu'il n'y parait. heureusement au moment ou j'arrivé devant les portes de la batissent d'autre satyre sont arrivé et on attrapé les deux adolescent. et l'un d'eux m'a demandé qui nous somme 

- il s'appelle grover. je crois. lui c'est percy... percy... hum.. jackson! oui c'est ça. percy jackson et je suis dana fay. 

- venez avec nous. 

- j'ai promis a sa mère de proteger percy. 

- on va l'emmener a l'infirmerie il y aura des soin de première qualité. et vous le rejoindrait après avoir expliqué comment... c'est une corne ?

- percy a vaincu le minautaure. 

on m'emmena a une grande maison en bois et j'eut l'impression de deranger plus qu'autre chose.  et devant celle-ci se tenait un homme avec le corp de cheval. 

un centaure. 

- tu dois être fatigué. mon enfant. ton voyage a été long. peut tu nous expliqué ce qu'il c'est passé? peut être devant une boisson chaude? 

cette homme s'appeller chiron. j'ai lu quelque truc sur lui alors après avoir posé une bonne dizaine de question j'ai repondu au sienne. 

en faite les evenement de se soir ne me paraissait pas encore réel. j'etait avec mon père. et d'un coup... il n'y a plus personne. que des inconnus qui m'entoure. ils essaie d'être gentil mais je ne les connais pas. 

- la journé a du être eprouvante. tu dormira a l'infirmerie cette nuit avec tes amis. 

ami c'est un bien grand mot je ne l'ai connais que de la nuit. 

on m'a raccompagné a l'infirmerie. c'etait un garçons. plus agée que moi avec une balafre sur le visage mais il n'en restait pas moin plutot mignon. 

- je m'appelle luke. demain, quand tu te reveillera je t'emmènerait rencontré le directeur de la colonie. je sais que la première fois qu'on arrive ici ça peut paraitre effrayant mais ne t'en fait pas on veillera sur vous. 

je suis donc arrivé a l'infirmerie ou l'on m'a conduit a grover qui c'etait reveillé

- tous va bien? 

- ne t'en fait pas pour moi 

- et percy? 

- il es inconscient mais c'est normal tu doit être epuisé. 

orthos c'est alors posé sur un lit et a aboyé . 

- il faut que tu te couche. 

- oui.. je vais faire ça.. 

j'obeis donc a grover. et je m'endore presque immediatement. 

j'ai dormis jusqu'a l'après midi. 

et une fois fait j'ai decouvert avec surprise que devant mon lit se trouvait un carton. de vêtement que je connais plutot bien

le garçon d'hier etait visiblement resté a attendre que je me reveille et avait finit par lui même s'endormir. en faite en me reveillant j'avais espéré que tous ça ne soit qu'un rêve. que mon père etait belle et bien en vie. que ma famille qu'on etait en route pour une veritable colonie de vacance , que mon chien sois juste un chiot et pas une replique du chien de bergé le plus flippant qui puisse existé. et rien qu'en realisant tous ça je pleure. je pleure parce que mon père est mort et que ma vie ne sera plus jamais a même. je ne peut même pas lui en vouloir de m'avoir cacher qui j'etait ni de ne pas m'avoir dit qui etait ma mère. je me sens bête. j'ai l'impression de même pas avoir le droit de pleurer pourtant mes larmes coules sans s'arrêté. 

quand la nuit tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant