une nuit dans un semi remorque

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quand je me suis reveillé j'ai vu que percy et annabeth c'etait visiblement endormi et grover parlé avec une antilope

- ça m'énerve.. dit-je en me rappelant que ses animaux avait toujours etait traité comme des bête de cirque. 

deja grover a retiré le ballon qui etait accroché a la corne de l'antilope c'est deja mieux qu'hier mais ça m'enerve quand même. 

le lion albinos plus loin semblait tellement affamé qu'il ne bouger presque pas. 

- tu devrais dormir encore un peu. 

- je suis en forme. ça devrait aller. dit moi, il vont bien? 

- percy leur a promis que dès demain on les aiderait un peu plus. 

- on va le faire dans ce cas. je peut pas faire grand chose. de plus. 

il sourit. 

- tu sais, parfois tu parait ne pas t'interet a grand chose mais en faite c'est tous l'inverse. 

- comment ça? 

- tu voulais pas vraiment participé a cette quête pas vrai? pourquoi tu es venu? 

- j'ai fait une promesse. 

- il y a une autre raison? 

- mon père. 

- voila. ce que je veut dire. tu fait comme si tous te passer au dessus alors que en faite tu est aussi concerné que nous. 

je me rapproche de la cage du zebre et je passe a travers les barreau sans difficulté. essayant de retiré le chewing-gum coincé dans sa crinière. 

- j'aime pas ça l'aventure. enfin.. si comme tous le monde. mais je ne veut pas être comme tous ses enfant de dieu qui font des quête pour prouvé a leur parent qu'il ont de quoi être fière. ma mère a continué de parlé a mon père après ma naissance. c'est moi qu'elle ignorait complètement. si elle s'en fiche de moi je vois pas pourquoi moi je devrais la rendre fière. 

- tu sais, je crois que tu es sa seule fille au camps des sang mêlé. ça m'etonnerait qu'elle ne se soit pas soucier de toi. elle t'as quand même reconnue. 

- parce que j'ai enpeché un chien noir de s'en prendre au camper. parce que je l'ai rendu fière. 

- tu savais que monsieur D etait le fils de persephone. 

je lève un sourcil. peu sur de savoir ou il voulait en venir. 

- il est née au enfer. sous un autre nom. et a été élevé dans les bois loin de ses parents. 

- et donc? 

- tu crois que persephone ne c'est pas soucier de lui? 

- qu'est-ce que j'en sais? 

- parfois les dieu font des chose insensé pour protégé leur enfant. surtout si comme zagreus, il sont née en enfer. 

- je ne suis pas née au enfer. 

- les enfant d'hecate sont toujours les bienvenue au enfer. 

de toute façon la conversation ne menera a rien alors je prefère me concentré sur la pauvre crinière de l'animale. 

j'entend orthos aboyé. il doit avoir faim. 

- grover tu peut fouillé dans mon sac s'il te plait? il doit y avoir des friandise pour chien. 

il s'execute. 

- tu pense en avoir assez jusquau solstice ? 

- j'en sais rien. mais je trouvais un moyen pour nourrir orthos. d'ailleur. comment ça se fait que je possède un chien a deux tête? 

- ce n'est pas le vrai orthos. 

- bah si tu l'a vu faire comme moi non? 

- les nom on du pouvoir. tu l'a appeler orthos alors il est devenu orthos. mais le vrai est toujours avec sont propriétaire. un géant. tu l'aurait appeler comme le chien a trois tête il aurait eut trois tête. 

c'est un chien de berger pour les australien alors je trouvais que son nom lui allait bien vu que orthos est certe un chien a deux tête mais aussi un chien de bergé pour un geant du nom de Géryon. dont il garde le troupeaux de boeufs 

- je sais que je t'ennuis avec mes question mais j'en ai une dernière. dit il 

- j'ecoute. 

- pourquoi tu as dit au dieu de la guerre qu'il etait plus gentil qu'il ne voulait bien le montré? 

- oh ça? hum... quand j'etait petite j'avais une voisine qui sortait de son appartement recouvert de bleu. on entendait son maris hurlé jusque tard. je me rapelle que mon père c'etait deja a moitier embrouillé avec lui. et la femme est venu vivre chez nous le temps que les papier du divorce sois fait. 

- c'etait une femme battut n'est-ce pas? 

j'hoche la tête. 

- je lui ai dit que j'etait la pour la protégé. du haut de mes six ans. mais elle ma dit que ce n'etait pas la peine. parce qu'elle avait quelqu'un qui veiller sur toute les femme battut. 

- ares.. 

- oui. ares. c'est a cause de ça que je suis devenu une grande lectrice de la mythologie greque. parce que ça me faisait croire que si même le dieu de la violence et de la guerre defendait les femme battut alors le monde n'etait pas complètement perdu. 

il souria. 

- en gros c'est ares qui t'as donné envie de t'informé sur tes origine. 

- je ne savait pas que c'etait mes origine. mais oui. ares a fait ça. alors même si en sa presence j'ai envie de frappé chaque personne qui m'entoure je suis content qu'il nous ai aide. 

- percy ne semble pas l'apprecier. 

- tu as remarqué? 

on ris un peu a cette conclusion

quand la nuit tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant