les enfers.

24 2 0
                                    

a l'entré du studio il y avait ecrit: interdit au quêteur et au vivant et je supposé que se message nous etait tous droit reservé. 

a peine entrer je ressentis ce sentiment horrible. le même que j'avais ressentis chez meduse. entouré de toute ses statut. la porte des enfers etait couverte de statut. 

- ça va ? 

- j'ai mal a la tête ça va passer hum... avancer sans moi. 

il allèrent vers l'homme de l'accueille et je resta a souffler un moment .il fallait que je me calme. 

- franchement elle pouvais pas avoir moins de specificité? me dit-je a moi même en parlant de ma mère et de son lien avec les fantome. c'est pas comme si il y avait deja une déesse pour ça.

j'entendis l'homme de l'accueille faire la morale a percy. qui ne sais visiblement pas la difference entre charon et chiron. 

la en l'occurence je suppose qu'il sont face a charon vu que l'autre nous sert de professeur au camps des sang mêlé. 

je repris une dernière grande respiration. mes camarade etait en pleine negociation. 

- ecoutez c'est ecrit pas de personne vivante a l'entrée ce n'est pas pour rien et... aller y mademoiselle. 

- pardon? 

- les enfant d'hecate sont les bienvenue au enfer. ils on toujours leur place la bas. 

- je peut emmener mes collègue? nous avons eut un appelle. 

- j'ai bien peur que... 

- s'il vous plait monsieur charon. je ne pense pas y arrivé sans votre approbation. je demanderait même a hades une augmentation pour vous si vous nous laisser passer. 

- une augmentation? 

- oui. annabeth ici presente est très persuasive! je suis sur que l'on pourra en parler avec lui calmement. 

nous somme donc monté sur son bateau. un ferry. et quand il a demarré les autres ne se sont pas sentit très bien. mais etonnement j'avais l'impression de n'avoir jamais sentit un aire aussi pur parcourir ma peau. 

j'etait bien. si bien que lorsque l'on descendit de se bateau je me suis rendu compte que j'etait la seule a avoir apprecier cette balade. grover semblait avoir le mal de mère, percy et annabeth se tenait la main comme pour s'assuré qu'il etait tous les deux encore bien en vie. 

- je peut refaire un tour après? demandait-je. 

les autres m'ont tiré avec eux. nous somme arrivé devant trois file  je supposé que c'etait celle du jugement. au enfers on risque d'être juger pour tous les crimes que l'on a fait ou pour toute les bonne chose que l'on a fait. et puis je le vis. ce chiens. encore plus grand et effrayant que le miens. un rottveler a trois tête

- magnifique. 

- dana il.. 

il sentait ce qu'i etait vivant. je l'avait compris alors j'ai sortis un peu de nourriture de mon sac et je l'ai donner a annabeth. 

- je suis une très mauvaise lanceuse. 

elle lanca la nourriture au chiens geant qui sembla plutot heureux d'être nourris differement. 

- c'est un bon toutou ça; 

- c'est le chiens des enfers. me rappela grover

- il est adorable n'est-ce pas? 

j'entendait orthos aboyé de jalousie dans mon dos

je le sortit du sac et je lui montra. et etrangement mon chien sembla content et remuer la queue. pareil pour le chien des enfers. 

- il faudrait un jouet pour qu'il ne nous mange pas. si tu as ça ce serait parfait. dit alors annabeth. 

je cherche dans mon sac et finit par sortir une petite balle acheté au parc d'attraction. 

elle lui lança et j'attrapa orthos avant qu'il ne se decide a pourchassé la balle a son tour. 

on partit rejoindre le champs asphodèle et tous les deux minute les mort venez nous voir pour nous parler. je comprenais chacun de leur mot mais grover ma dit qu'il fallait mieux qu'il ne le sache jamais. sinon il ne me lacherait pas . lui ne les entendait pas les deux autre non plus. 

on c'est retrouvé près de l' Élysées on aurait dit un lac d'eau pur bleu. comme on peut en voir sur les image des lagons. mais le plus important a cette instant c'est que les chaussur de notre chère grover se sont soudainement envoler. annabeth l'attrapa de justesse. il essaya de les faire s'arrêté mais ça ne marcher pas. 

- defait tes lacet! avait-hurler percy alors qu'annabeth n'avait pas reussit a l'attrapé. 

je courait après lui pour voir qu'on l'emmener dans une sorte de troue sans fond. 

- le tartare. 

- excuse moi maman. ou ariane. peut importe. avait-je dit un peu pour moi seule

je pris mon poignard et le lança sur les chaussure de grover qui lachèrent enfin. enfin une d'elle. 

je m'attendait a ne plus rien a voir mais soudain je sentit un poid sur moi. 

 mon poignard etait revenue. je n'hesita pas une seconde et la jeta a nouveau sur le pied de grover. sans penser qu'il allait chuter. c'etait peut être mieux qu'il chute maintenant que dans le tartare. 

il tomba et je courut vers lui . mon deuxième coup ne lui avait pas coupé sa chaussure comme la première j'avais juste abimé l'aile. ce qui signifiait qui continuer a être tiré dans le tartare. 

je l'avait attrapé mais je me faisait tiré aussi. il fallut que annabeth et percy viennent m'aider pour qu'on reussissent a lui retiré ses chaussure. 


                                                                                                                                                                                       

quand la nuit tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant