Les âmes sœurs sont des bénédictions de la déesse de la Lune. Chanceux sont ceux qui trouvent la leur dans une vie. Idiots sont ceux qui la repoussent parce qu'ils sont d'une espèce différente de la leur.
Les Alpha Suprême sont les plus idiots de to...
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🎶David Guetta & Sia & DJ From Mars – Let’s Love🎶
Point de vue externe Elle se réveille au chalet dans le lit de Daemon, avec son t-shirt. Elle se redresse, vaseuse et éreintée.
— Comment je suis arrivée là ??
En se levant, elle vacille. Son entrecuisse est douloureux. Elle pose une main sur son bas ventre, elle sent encore son imposante présence en elle.
— Je n'ai pas rêvé. Il m’a rejoint au bassin, il m’a embrassé, il a pris ma virginité. J’ai aimé ça. Il est imposant, je le sens encore. Bordel !! Je ne prends pas la pilule !!
Elle va prendre une douche en remettant le t-shirt qu’elle avait sur elle, lui piquant un boxer à lui. Elle descend dans sa chambre, mais toutes ses affaires ont disparu.
— C’est quoi ce bordel !!
Elle descend rapidement dans la cuisine, Daemon est là avec ses bêtas.
— Où sont mes affaires ?!
Ils se retournent, puis ils reniflent. Daemon a le regard noir, les loups présents baissent le regard quand il s’approche rapidement d’elle, la soulevant sur son épaule pour remonter. Elle le frappe sous les rires des bêtas et d’Anna. Il la jette sur son lit après avoir fermé la porte.
— Ne te montre plus ainsi devant les autres !! hurle-t-il. — De quoi tu parles ? — Ce qui est à moi ne se montre pas. — À toi ? — Oui, à moi.
Il se penche sur le lit, grimpant sur elle et l’embrassant.
— Tu m’as marqué, murmure-t-elle. — Oui. — Pourquoi ? — Parce que tu es mienne. — Tu dis des bêtises. — Non. Tu es ma Luna Jazz, regarde.
Il lui montre son cou, il a une morsure humaine.
— C’est moi ? — Oui, ma douce. — On est lié ? — Oui.
Il l’embrasse fougueusement, sa main glisse entre ses cuisses, mais elle recule.
— Arrête. — Quoi ? — Ça fait encore mal. — Désolé, ma douce.
Il lui caresse le visage en lui embrassant le front, il la tire hors du lit pour lui montrer le dressing, elle voit toutes ses affaires.
— Euh. — Tu dors ici maintenant. — Je croyais que tu n’emmenais personne à cet étage. — Tu es à moi à présent, je refuse que tu dormes dans une autre chambre. Change-toi, je t’escorte à la bibliothèque. — Je suis une grande fille, tu sais. — Je sais, mais soit je t’emmène là-bas, soit je te garde au lit toute la journée, précise-t-il en lui embrassant le cou. Ok ? — Ok, je me change. — C’est bien ce que je pensais, dit-il en souriant. Garde mon t-shirt. J’aime qu’il sente ton odeur.
