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A ce message mon cœur accélérât en imaginant la scène et je sentis le bout de mes seins se durcir légèrement. Mais il n'était que 14h00 et Monsieur n'arriverait que dans 3h environ ce qui me laissais largement le temps de m'apprêter en l'attendant. Je choisis donc une jupe fendue longue gris anthracite ainsi qu'un haut sans manches blanc. Dans le même temps je programmais donc une alarme pour ne pas oublier l'heure et décevoir l'homme qui me possède.

16h30 l'alarme sonne et comme demandé par Monsieur, je vins me placer derrière la porte d'entrée et attendais son arrivée. Sa voiture arrivera d'une minute à l'autre.

Le temps passe et Monsieur n'est toujours pas arrivé mais en bonne fifille obéissante et dévouée je ne bouge pas et reste en place. Il est 17h13, peut-être recevrais-je une récompense ? Pensais-je au moment où la voiture de Monsieur se garait devant la maison.

Il descendit de la voiture et se dirigea vers la porte. Je le regardais franchir le seuil de l'entrée avec son air fier et plein d'assurance habituel et s'approcher de moi.

« Baisse les yeux quand ton maitre arrive » lança-t-il avec un ton plein d'autorité.

Je m'exécutais pendant qu'il me contrôlait en faisant le tour de moi en observant chaque partie de mon corps sans me toucher.

C'est alors qu'il s'arrêta net derrière moi. A ce moment-là je compris que j'avais fait quelque chose qui allait déplaire à Monsieur, ou plutôt oublier de faire quelque chose. Dans l'excitation j'avais gardé ma culotte !

Sans un mot, il me traina par le bras jusqu'au canapé ou il m'installa sur le dossier les fesses tendues en arrière et recula d'un pas, les yeux rivés sur mon arrière train.

Il resta immobile, les yeux figés sur mes fesses quatre ou cinq interminables secondes avant d'ouvrir la bouche : « Tu as désobéit » me dit-il assez sèchement.

Monsieur ne supportait pas la désobéissance, je le savais. Ma récompense allait se transformer en correction.

Comprenant mon erreur, je regardais devant moi en sentant ses mains saisir le bas de ma jupe et la relever jusqu'à mon ventre puis saisir d'une main ma culotte et la tirer de façon à ce qu'elle rentre dans mes fesses. Le tissu se tendais en pinçant au passage légèrement l'avant de mon entre jambes ce qui me donnait un mélange de plaisir et une douleur excitante.

Clac. Mon maitre venait de me donner la première fessée sur la fesse droite. Clac. Une deuxième sur la fesse gauche.

« Je veux que tu comptes ta bêtise » m'ordonna mon propriétaire.

« Un ». « Deux ». « Trois » commençais-je à compter.

Le décompte s'arrêta à vingt. Je sentais la chaleur douloureuse qui se diffusait de mes fesses rougies pas mon châtiment alors que Monsieur retirait ma culotte en douceur.

Il posa ses mains sur mes hanches et tout en calant mes fesses contre son bassin, me dit :« Tu ne désobéira plus ». Alors totalement sous sa domination, je répondis alors avec humilité « oui monsieur, pardonnez-moi ».

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