Alors mon geôlier de plaisir m'ordonna de me placer devant lui. Ordonnance que j'exécutais tel un robot prêt à servir.
« Mets-toi à genoux ! » invectiva-t-il.
A peine ais-je eu le temps de réagir qu'il vint poser le bout de ses doigts sous mon menton, me forçant à rester droite, les yeux en direction du mur derrière lui.
« Tu es un animal, baisse les yeux quand ton maître parle » murmura-t-il en approchant son visage du mien.
La tête basse, je me mis à genoux pendant que mon maitre retirait son pantalon, laissant s'échapper un monstre d'une grosse vingtaine de centimètre. Aussitôt, mon entre jambes se mit à produire plus de liquide qu'il ne produisait déjà, j'étais totalement trempée.
Saisissant ma tête, il l'approcha du gros arbre qui lui servait d'organe reproducteur et comme un bon toutou, j'ouvris la bouche et laissa entrer son pénis qui s'enfonça dans ma gorge dans un bruit de déglutition.
Les vas et viens répétés de son engin m'offraient une sensation d'étouffement et d'inconfort. Je me sentais petite face à cet homme si viril et assuré. Je n'étais rien à côté de lui. Il est mon maitre, je suis inférieure à lui. Oh oui ! J'aime cette sensation !
Quand le maitre eu fini d'utiliser ma gorge il me saisit par les cheveux et les tira vers le haut pour me forcer à me relever. Une de ses mains vint se poser sur me fesses et me plaqua contre son cops. Tout en passant sa main autour de ma gorge, il m'embrassa langoureusement tout en me dirigeant à reculons vers le lit.
Les montants du lit arrivants en butée contre l'arrière de mes genoux, je m'écroulais sur le matelas accompagné par mon dominant qui se mit à passer sa langue sur mon cou et mon lobe d'oreille me grisant dans un frisson irrésistible.
Comme si je n'étais pas suffisamment brulante, il continuait de jouer avec mes pulsions tant sa langue venait réveiller chaque partie sensible de mon corps.
« Je crois que je vais jouir » lui confiais-je timidement en prenant en considération mon devoir d'appartenance.
Maitre releva la tête, marqua une pose et rétorqua sur son ton autoritaire habituel : « Tu n'en a pas l'autorisation. Retiens toi petite chienne. »
C'était mon surnom préféré, celui qui me fait le plus d'effet et l'audition de mon nom couplé avec la pression de ses doigts pinçant mes tétons, je ne pus m'empêcher de lâcher un soupir de plaisir.
C'est alors que Monsieur sorti une boite de dessous le lit et en sorti une petite cordelette velourée qu'il enroula autour de mes poignets pour les entraver. Il fit de même avec ma cheville droite qu'il attacha au premier coté du lit, ainsi qu'avec la cheville gauche qu'il attacha également de l'autre côté.
VOUS LISEZ
Le Jouet
RomanceL'histoire de Flo, ses envie, ses pulsions. L'histoire de la soumise et du maitre. Dans ce récit il ne vous fait pas l'amour, il vous possède et vous lui appartenez.