Chapitre 5

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Le soir lorsque les jeux commence :

Le soir lorsque les jeux commence :

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Pov t/p

Une vingtaine de minutes plus tard, on était perdu. Tout le monde était essoufflés et complètement étourdis par la complexité du labyrinthe. Nous nous étions déjà battu avec une petite équipe, et nous avions volé leur notes.

Actuellement nous étions placés sur une plate-forme, le vide nous attendait en bas. Elfman commença a enclenché notre futur départ mais je m'arrêtais nette.

Cela suffit ! Dis-je complètement agacé.

Je me laissais tombé au sol en tailleur, pendant que mes camarades m'observaient, côte à côte. Ils savaient tous très bien qu'il ne fallait pas m'énerver. Je continuais en faisant d'innombrables geste avec mes mains, renforçant mon agacement.

Je veux bien essayer votre technique complètement stupide d'attaquer les autres équipes pour voler leur notes, mais sincèrement ? C'est complètement inutile ! On perd du temps alors qu'il faudrait simplement qu'on se dirige au centre du-

Une énième fois couper dans mon élan, je me retournais de tout les côtés. Le labyrinthe bougeait.

Je me relevais immédiatement, je sentait que je perdais l'équilibre. Mais si je tombais, je n'allais pas survivre à la chute !!

Pendant mon monologue je m'était un peu éloigné de mon équipe, et la gravité était en trin de complètement nous séparer !!

t/ppp !!! S'écria Lucy.

Elle s'était, tout comme Erza et Elfman accroché à une des portes de la sphère.

Natsu et Grey m'observaient avec des yeux écarquillés. Je tendais désespérément mes mains vers eux mais je sentais mon poids m'emporter dans le vide.

Mes pieds ne touchaient désormais plus le sol et j'entendais encore une fois mon prénom de la bouche d'un de mes amis.

Je ne pouvais pas crier. J'étais complètement pétrifié, je ne vais pas mourir aussi minablement quand même ?

Natsu !! Hurlais-je. Trouvez le centre du labyrinthe, n'allez PAS vers... l'Est !!

Je tentais de me retourner dans ma chute pour m'accrocher à une plate-forme, mais avant que je ne fasse un mouvement je sentais une poigne ferme m'accrocher.

L'origine de cette aide me hissa sur quelque chose de dur.

Je relevais la tête. Mes jambes tremblotaient à cause de la chute.

Ne me dit pas merci surtout.

Mes pupilles doré étaient bien petite face à les siennes d'un bleu profond et glacial. En voyant que « la chose dur » était sont torse je me reculais précipitamment.

la chasseuse de dragon lunair de fairy tailOù les histoires vivent. Découvrez maintenant