le damné à travers les mondes

Chapitre 7

Timeskip

PDV de Nathan.

Nous surveillons les affaires de la capitale, nous voyons le désastre arriver, nous entrons en jeux pour aider les chevaliers sacrés à reprendre le contrôle. Mordred fait un sacré impact pour en balayer plusieurs des démons fait de la nouvelle génération. Astolfo virevolte et vient en aide aux autres pour les sauver. Je me bats aussi contre des de la nouvelle génération, j'en tiens cinq en respect sans les tuer. Je vois Ban et Arlequin survoler le champ de bataille.

Nous nous rassemblons pour bloquer Hendrickson ayant bu du sang de démon. Pendant que les 7ds se battent, Gilthunder explique la situation aux autres.

Je vois les guerriers légendaires être éjecter, je rattrape le morceaux de Ban et d'Arlequin.

La tension du démon est forte, mais elle n'est que du pipi de chat comparer à celle que j'ai déjà affronter.

Je vois ces flocons des ténèbres, je lui fonce dessus et je lui donne un sacré coup de lame contre son corps, j'entends bien que j'ai dû infliger un peu de dégâts. Il tente de me tirer dessus, mais j'esquive le coup avec quelques petites acrobaties.

Il tue d'autres chevaliers et fonce vers Elisabeth, le masque de fer l'immobilise avec sa magie avant de l'envoyer sur Simon qui le touche, puis moi je donne un violent coup avec ma lame depuis le bas de son corps. Gustaf utilise sa magie de glace.

D'un coup, le démon fait un truc bizarre il me lance une sorte de cocons des ténèbres dans lequel je reste bloquer.

-Fait chier, non, je ne veux pas que mes compagnons ne meurent, je hurle de toute mon âme.

Je sens les ténèbres monter en moi. Je tiens bon, ils sont de plus en plus compliqués à réprimer.

Le cocon finit par s'ouvrir, je regarde, il n'y a pas de mort parmi mon groupe de mercenaire. Tant mieux.

Après tout cela, je pars, j'ai fait mon job, je vais me positionner pas loin d'où vont se libérer les 10 commandements pour les attaquer dès qu'ils se réveillent. Ils seront au plus mal, en déchainant mes ténèbres, je devrais pouvoir les tuer dans leur pitoyable état.