Je sais que tu seras ma mort(LivaixReader)

Chapitre 2

Je sentais leurs regards pesant sur moi ils avaient peur que je tente quelque chose de stupide .

On se dirigea vers la sortie des bas fond on montaient d'interminables escalier.

Je n'arrivais pas a croire que moi T/p.

J'allais voir enfin l'extérieur,sentir l'air frais contre mon visage, sentir mes cheveux voler au vent .
Mes poumons allaient pour la première fois respirer de lair pur.Soudain mon sang ce glaca.

Est ce que je le méritais ?pensais je une boule se forma dans mon ventre.

Je pensa a tout ce que j'avais vécu pour espérer un jour voir l'extérieur.

Cela allait se enfin produire mais je n'arrivais pas à éprouver un sentiment de joie.

J'avais tellement souffert,j'avais tellement perdu de gens que j'aimais,j'avais tellement fait de concession.

Mais je me berçais d'illusions, je crois que je mettais fixé cet objectif d'espérer voir l'extérieur pour tenir bon mais était ce vraiment ce que je voulais?

Que me réservait le destin?Si seulement elle était la avec moi.

Je ne m'etais jamais remis de la mort de Maé.

Il n'y a pas un jour depuis 3 ans oú je ne pensais pas a elle .

Je n'arrivais pas a me sentir légitime de ma vie.

J'avais fini pas me convaincre que je meritais ce que j'avais vecu.

J'avais laissé la seule personne que j'aimais mourir dans d'effroyables conditions.
Je m'en voulais chaque jour pour ca .

Le destin m'avait donc punit en conséquence, j'étais arrivé à cette conclusion.

J'étais tellement dans mes pensées  que je n'avais même pas remarqué qu'on etait deja arrivé au bout de ces escaliers .

je fis sortis de mes pensées par l'air frais ,tellement frais qu'il me bruler les poumons mais c'était agréable.

C'etait donc ça l'extérieur que je m'étais forcé a convoiter.

Je restais planté la ,je ne bougeais plus.

J'étais trop absorbé par la beauté du ciel ,le soleil me bruler la retine ,je n'avais jamais etait exposé a une telle lumière.

J'avais toujours vécu dans la pénombre,je fis obligé de mettre ma main devant mes yeux.

Les soldats du bataillon s'étaient arrêté a leur tour après avoir remarqué que je mettais arreté.

Ils me fixèrent.

Mais je m'en foutais,aucun ne pouvaient comprendre la sensation que je ressentais.

Mais je fis sortis de mes pensées par un coup derrière mon genou ce qui me fît trébucher.

Je me retourna, c'était encore ce gars là que je ne pouvais pas me saquer.

-Livaï:Mais putain avance .

Il avait prit un ton qui m'agaça énormément.

-T/p:Mais c'est quoi ton problème a la fin ?
Je ne te dois rien! C'est sur que c'est pas toi qui doit comprendre ce que ca fait d'avoir vecu toute sa vie dans cet enfer et d'enfin s'en libérer.