Chapitre 1

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Chapitre 1

Ellipse de 3 ans.

PDV T/P:
C'était un jour comme les autres, j'avais reçu une nouvelle victime à tuer Chris Yuti.

C'était un homme de taille moyenne 1m75 je dirais il était blond avec une moustache et des yeux noisette.

C'était un mafieux qui faisait des détournements de fonds ce qui impactait l'économie la ville et donc indirectement les revenus de l'agence de mon patron.

Ce dernier m'a donc chargé de le tuer, a vrai dire je n'avais pas vraiment mon mot à dire j'exécutais les ordres sans discuter,j'étais une mercenaire plutôt réputé des bas fonds ,j'étais la mieux placé pour ce genre d'affaire .

Je me suis donc diriger là où il était censé ce trouver dans un endroit plutôt refoulé des bas fonds dans une cabane délabré mais avec un petit panneaux avec écrit ouvert.

Je rentre donc à l'intérieur, il y avais personne à part se dénommer, Chris je l'ai tout de suite reconnus car mon patron m'avais précisé qu'il avait une tache de naissance sur le front c'était assez facile de le reconnaître.

Je crois qu'il m'a tout de suite reconnu car il a discrètement pris un couteau cachés dans sa ceinture mais pas assez discrètement pour que je le remarque, il me lança le couteau.

-Chris : «dégage de la merdeuse retourne voir ton patron et dit lui qui je l'emmerde !»
J'évita le couteau facilement je le rattrapa.

je le glissa dans ma poche .

il s'approcha de moi pour me mettre un coup de poing, je l'arrêta et écrasa son poing dans ma main il se mit a crier de douleur . J'esquissa un sourire de satisfaction.

Quel homme faible.

Avant qu'il me fasse repérer a cause de ses gémissements je mis fin à sa souffrance.

Il était mort d'un coup bien placé dans la moelle épinière plus typiquement appeler le coup du lapin c'était l'élément le plus facile pour moi pas de sang juste un coup bien placé, il m'a fallut des années pour m'entraîner à faire sa proprement mais ca en valait la peine .

C'était limite trop simple décevant.

-T/P: C'est moi qui t'emmerde connard .répliquai je un sourire en coin avant de partir .

Pas besoin de déplacés le corps ou de tuer d'autres personnes, aucun témoins juste moi et ce cadavre.

Il n'y avait plus de police dans les bas fonds depuis bien longtemps à part quelque ronde de la garnison pour faire un semblant de «faites attention on est là »qu'est-ce que pouvait m'agacer.

Je retourna comme ci de rien étais voir mon patron pour lui dire que ces ordres avaient étaient exécuté sans encombre.

Mais je ne serais pas vraiment l'expliquer mais ce travail m'épuiser mentalement.
Je portais tant de mort sur ma conscience c'était si difficile j'avais du sang sur les mains et rien ne pourrais l'effacer toute ma vie je devrais porter les crimes que j'ai commis.

j'etais seule face a moi même, rien que d'y penser j'en avais la nausée, vivement que je réunisse assez d'argent pout enfin découvrir la surface j'imaginais deja l'air frais remplir mes poumons.

Mais pour ça il me fallait une citoyenneté et c'était extrêmement coûteux j'économisais donc tout l'argent gagné grâce à ce travail répugnant.

Une fois mon patron prévenu je retourna à mon semblant de maison ou plutôt un todis où s'y trouver le peu d'affaire que j'avais soigneusement voler.

Je sais que tu seras ma mort(LivaixReader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant