L'extravagance se dénude, et flamboie pour le prélude
À la fin seulement, elle s'éclipse
Et là se présente la défaillance, signe de toute décadence
Elle ne disparaitra pas aussi vite qu'elle est apparue
Elle se même, me peine et me traîne
Je ne verdoie plus
Et sommeille sous l'inquiétude
La dégénérescence qui se lit par mon apparence
Il n'existe pas plus juste
Mais est-ce la fin de ma quiétude ?
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Histoires d'un cerveau
PoetryLes années sont passées, les pensées ont filé, ne reste aujourd'hui que ce recueil