La jalousie te rongerait
La colère t'épuiserait
Supposer ne te mènerai qu'à l'angoisse
Les souvenirs te consumeraient
Mais le feu était beau et réconfortant à la manière des bras de l'aimé
Mais alors, à quoi bon s'attacher ?
Si tout l'amour n'était que dérisoire
Si ces relations étaient si éphémères
Et que les sentiments n'en valaient plus la peine
Ça allait si vite, mais l'affliction, elle, prenait son temps
Elle me tachait, à la vue de tout le monde
S'était-elle décidé à partir ?
Je m'en rendrait compte trop tard, quand tout cet épisode n'aura plus d'importance, et que j'aurai déjà tout envoyer valser
VOUS LISEZ
Histoires d'un cerveau
PoesíaLes années sont passées, les pensées ont filé, ne reste aujourd'hui que ce recueil