De là-haut, les étoiles nous réconfortaient probablement
La lune révélait sa pupille sombre
Et le vent emportait avec lui les soucis
On a contemplé le ciel pendant plusieurs heures, se jetant alors dans ses contrées inexplorées
Les yeux humides quand on pensait à ce qu'il adviendrait
Le piano nous consolait de la chaleur
Les rires étaient francs, les bousculades amicales, et les silences agréables
À la croisée des regards, le temps avait l'air pressé
Secrètement, il nous évitait le supplice de l'existence
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Histoires d'un cerveau
PoetryLes années sont passées, les pensées ont filé, ne reste aujourd'hui que ce recueil