huit

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si on exclut les sursauts involontaires de ton corps, les soubresauts et les agitations
ton corps dort d’un sommeil paisible
je te regarde et dans tes yeux clos je vois cet apaisement auquel tu ne sembles accorder aucune croyance
sur tes paupières, la lune se reflète encore

je te regarde les yeux fermés je te vois transparent-e diaphane peut être
peut être
l'air de dire moi aussi je suis là pour le repos, loin de l’agitation et des sursauts
je crois que cette fois ci je veux bien l’imaginer possible — l’apaisement

j'aimerai me souvenir de nos nuitsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant