Repas d'affaires

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Point de vu Jordan->

J'étais entrain de discuter avec d'autres politiciens quand Gabriel et le président rentrent dans la pièce, je faisais tout pour rester le plus concentré possible sur ma discussion mais sa en était presque impossible, je n'arrivais pas à me détacher de lui, mon regard cherchant toujours le sien

-Je vous pries de m'excuser, je vais saluer le président et notre cher premier ministre

Je parti à marche rapide pour arriver avant une une grosse partie de la foule, je voulais pouvoir parler avec Gabriel tranquillement, sans être déranger

-Mr le Président, bonsoir, c'est un plaisir de vous voir

-Mr Bardella

Il hocha la tête en signe de bonsoir et je me tourna vers Gabriel

-Mr le premier ministre, quel joie de vous voir, en dehors des débats

-Jordan Bardella, oui c'est vrai que ça change des caméras

Il sourit, mes yeux ne lâcher plus les siens, mon cerveau était déconnecté du monde, je ne voyais plus que lui et rien d'autre

-Mr Bardella voulez vous bien m'accompagner chercher un verre, cela nous donneras une occasion de parler un petit peu

-Avec joie, Monsieur

Je lui rendit son sourire de toute à l'heure
Il se pencha vers Emmanuel et lui dit qu'il part se chercher un verre et qu'il revient plus tard
Il hocha de la tête pour lui donner son accord et nous partons

-Ça a l'air d'aller avec Emmanuel, vous avez eu l'occasion de parler
Dis-je en espérant une réponse positive

-Malheureusement ce n'est qu'une façade, il m'en veux énormément et j'espère que ça s'arrangera rapidement, j'ai peur pour mon poste si ça ne se règle pas vite

Je lui souris d'une manière réconfortante et lui dis que tout ira bien, qu'il n'a pas à s'inquiéter et que ça va bien se passer

Nous allons prendre un verre et discutons ensemble de choses qui n'ont strictement rien a voir avec la politique, j'avais qu'une seule envie c'était de le prendre dans mes bras et de l'embrasser mais il y avait des gens autour

-Attal, si ça ne vous gènes pas de me suivre

Je parlais un peu plus fort, vu que nous nous étions éloigné le temps que j'aille me chercher un petit quelque chose à manger

-Bien sûr Bardella sans soucis

Nous marchons jusqu'à un bureau où il n'y avait aucune chance que quelqu'un vienne, appart Macron même si j'en doute fortement

-Jordan qu'est ce qu'il y'a dit il en ferment la porte du bureau

Je n'avais même pas allumer la lumière que je le plaque contre la porte et l'embrassa, c'était à la limite du sauvage mais un sauvage plein de désirs et de tension

-Juste une grosse envie de te serrer contre moi

Cette réponse a l'air de lui plaire étant donner qu'il n'attends pas une seconde de plus avant de m'embrasser de nouveau, il fit glisser une main sous ma veste pour soulever un bout de ma chemise, il passa sa main sous ma chemise pour avoir le contact de ma peau et la pressa un peu plus quand je viens passer ma langue sur sa lèvre inférieur, pour aller rencontrer la sienne

Ma main était dans ses cheveux, je l'ai tiré de plus en plus, l'autre était sur sa hanche pour pouvoir le ramener plus près de moi, notre baiser était plein de désirs et de tensions dangereuses pour notre politique

-Je te déteste dit il en me tournant pour que je sois plaquer contre la porte cette fois ci

-Autant que tu me résistes répondis-je en riant

Il fallait bien que je le titille un peu

-Autant que je te résiste Jordan

Il avait la voix haletante, je repris le contrôle et le re plaqua contre la porte mais cette fois, je m'approcha de son oreille et lui chuchota

-N'essayez pas de me résister Mr Attal c'est cause perdue

Je l'embrassa à partir de son oreille et suivi sa mâchoire pour descendre jusqu'à son cou

Je le remplis de baiser chaud et doux

-Jordan... gémit il quand j'arrive au niveau du col de sa chemise

Entendre mon nom dans un gémissement ne m'avait jamais fait autant d'effet que quand ça venait de lui

-Je vous déteste tellement

Finit il par dire

-Si vous saviez à quel point vous me faites tourner la tête, avec votre sourire en coin et votre tête, il reprit son souffle doucement et dit si belle et arrogante, je vous déteste autant que je vous aimes Bardella

Il attrapa ma mâchoire et m'embrassa fougueusement

-De la haine à l'amour il n'y a qu'un pas Attal

Dis-je en souriant avec ce sourire en coin qu'il aime tant

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Chapitre 15🎀🌸

J'espère qu'il vous a plu !!!

J'ai adoré l'écrire même si il y'a des moments où je sèche pendant 30 minutes devant mon écran pour avoir de l'inspiration mais tranquille on est là

À demain pour le prochain chapitre !!👀🌸🎀

Un amour improbable AttalxBardellaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant