Un amour improbable AttalxBardella

Révélations révélatrices

Point de vu Gabriel->

Je ne revenais pas de ce que je venais de dire à Emmanuel, je ne sais pas ce qui m'a pris mais ça m'a libérer d'un poids

Jordan n'arrêter pas de me dire que c'était de la folie furieuse

-Et ta de la chance Gabriel, j'aime la folie
Me dit il

Je lui souris, complètement ailleurs entrain de penser à comment le président aller réagir la prochaine fois que j'irai à l'Élysée

-Après on peut toujours partir à l'autre bout du monde, Emmanuel ne nous en voudra pas
Dis-je paniqué, je n'aurai pas du, pourquoi, j'aurai du écouter Emmanuel

-Je suis là Gabriel, détend toi, ça va aller
Je te lâcherai pas, ceci dit, ton idée est complètement folle
Il rigola et continua
Mais je t'aime et je suis près à faire tous ce que tu voudras, et d'ailleurs j'ai trouvé que tu étais très sexy quand tu tenais tête a notre très cher président de la république

Il avait cette tête, quand il est fier de lui, ce qui montre qu'il se fout royalement de ma gueule, cela m'arrache un sourire en coin même si cela m'énerver du plus haut point, tout de même, devant la France entière, ça voudrait dire quoi, s'allier au RN hors de questions, s'exhiber en public aux bras de Jordan, je n'aime pas les démonstrations public, mais je l'aime du plus profond de moi même et après tout est ce que c'est pas ça qui compte

-Arrête de te foutre de ma gueule, on peut plus faire machine arrière, maintenant

Je réalise alors une nouvelle fois l'importance de ma prise de confiance envers le président

-Calme toi, mon cœur, ça va aller
Me dit il en ayant vu mon état de stresse actuel

Mon cœur, ce surnom m'arrache un sourire, je pouvais pas lui résister, je l'aimais plus que tout au monde

-Tout de même, devant la France entière

Soufflais-je

-De toute façon, ils ont déjà vu notre échange dans le parc, alors qu'on le dise ou non, ils savent

Pour cela il marque un point

-Je sais bien, mais tu n'aimais pas ce risque de te faire surprendre, ce danger, cet interdit

Malgré que j'aimerai pouvoir me montrer avec lui constamment, je ne peux pas ne pas penser à notre crédibilité à l'écran à présent

-Si bien sûr que si, ça rajoutait un peu de piment, mais si nous le disons, nous ne serons pas obliger de nous montrer ensemble, il y aura juste plus cette sensation d'interdit

Je souffle, le regarde et ne peux pas m'empêcher de descendre mes yeux sur ses lèvres, il faudrait que j'arrête de stresser mais putain c'est tellement bon

-Mais pense à notre crédibilité, on fera comment

-Les Français sont content pour nous Gab, ils attendaient que ça, pourquoi tu essayes de te convaincre du contraire

Mon stress grandissant petit à petit a l'intérieur de moi fit que je m'énerve sans le vouloir à l'entente de sa phrase

-Tu veux savoir, très bien, tout simplement parce que je suis un putain d'angoisser de la vie, que je pense à nos familles, à nos électeurs, à nos partis politiques, à notre avenir
Lui criais-je à la figure, avant de finir par dire

-Et putain je t'aime, je t'aime tellement que je pourrais en mourir, mais je me suis battu toute ma vie pour arriver où j'en suis et j'ai peur