J'ai de la chance d'avoir un bon niveau en anglais, le chauffeur me fait monter dans une sublime voiture, une Rolls-Royce. Pendant le chemin, j'ai adoré regarder par la fenêtre les belles rues londoniennes, si raffinés et si chaleureuses en même temps. Les Beckham sont les seules personnes, à part mon père, que je connais réellement vivant en Angleterre. Je me sens un peu mal à l'aise, j'ai peur de ne pas m'entendre avec leurs enfants, je suis d'une nature assez calme, et moi et les enfants... c'est pas ça ! Les magazines disent qu'ils en ont quatre, j'ai retenu seulement le visage angélique de la petite dernière. Mais ce qui me gêne, c'est de ne pas les avoir vu depuis huit ans, et s'ils ne se souvenaient pas de moi ? Pour me faire oublier les idées quelques instants, je vais envoyer un message Skype à Alice, pour pas qu'elle ne s'inquiète. "Alice, c'était pour te dire que je suis arrivée, je vais chez mon père, bisous ! ♥". Je pense tout de même que c'est une bonne chose que je lui mente, sinon elle m'aurait posé trop de questions, et elle m'aurait demandé de l'emmener avec elle, elle m'aurait appelé tout le temps pour savoir ce qu'ils font, où ils vivent, comment sont-ils... Elle aurait gâché mes vacances et les siennes. "Super mon chat, passes de bonnes vacances ♥"
Chauffeur : Nous sommes chez les Beckham mademoiselle François.
Le chauffeur me fait descendre de la voiture, et descend mes valises.
Moi : Merci, au plaisir !
Chauffeur : À bientôt !
Je fais rouler mes deux valises à côté de moi, je monte les minimes marches qui desservent la porte d'entrée. Je suis un peu anxieuse, et s'ils ne me reconnaissent pas ? Je sonne, Victoria m'ouvre la porte.
Moi : Bonjour Victoria, c'est Auriane !
Victoria : Auriane ! Qu'est ce que tu as grandis !
Elle me serra dans les bras, ce que je décida de faire aussi, en lâchant mes valises, elles tombèrent sur les marches, mais je n'y prêta pas vraiment attention
Victoria : David n'est pas là, je vais demander à Brooklyn de t'aider.
Moi : Brooklyn ?
Victoria : Oui, mon fils. Ah oui c'est vrai, vous ne vous êtes jamais rencontrés. Alors ça sera l'occasion !
Lorsque que sa mère prononça son nom, je vis un jeune homme descendre des escaliers. Il a du style, il a un visage harmonieux, plaisant à regarder, mais je ne le connais absolument pas. Je tenta de lui faire la bise, malheureusement, j'ai oublié que la bise est française.
Moi : Désolé, c'est juste que c'est la coutume en France.
Brooklyn : Ce n'est rien, je vais t'emmener jusqu'à ta chambre et te faire la visite au passage.
Moi : Merci !
Je monte les escaliers de cette magnifique maison, le fils m'emmène jusqu'à une chambre avec un dressing gigantesque et une salle de bain magnifique.
Brooklyn : C'est ta chambre, la salle de bain et le dressing est pour nous deux, ce n'est pas un mur c'est une porte coulissante qui relie ma chambre à la tienne. Donc si tu as besoin de moi, ou juste un peu de compagnie, n'hésites pas !
Moi : Merci, c'est vraiment adorable !
La chambre de Brooklyn était relié à la mienne par une porte coulissante, qui était reliée par une porte vitrée au dressing, qui était reliée par une porte simple à la salle de bain. L'aînée me laissa seule défaire ma valise. La décoration est très raffinée, un mélange de couleur de très bon goût et une odeur florale très agréable enrobe la pièce. Après avoir rangé mes affaires dans mon dressing, mon bureau et ma coiffeuse, je décide de descendre pour faire connaissance avec les autres membres de la famille. Je pénètre dans le séjour, et vois deux garçons jouant ensemble à la PS4 au jeu FIFA (c'est bien les fils à leur père). Je vois aussi la fillette que j'avais vu dans les magazines dans les bras de Brooklyn. Étant, une grande amatrice des jeux vidéos, je me rend à côté des deux garçons parterre en tailleur comme eux.
Moi : Salut, moi c'est Auriane, je vais habiter quelques temps avec vous. Et vous vous êtes ?
Cruz : Moi c'est Cruz et lui c'est Roméo, tu sais jouer ?
Moi : Oui contre qui vais-je jouer ?
Roméo : Tu vas jouer contre moi, je le bats 8-0 pour l'instant.
J'ai choisis de prendre les équipes internationales, donc évidemment, je choisis la France et lui l'Angleterre. Résultats du match : 3-1 pour moi. Après cette agréable partie, je voulu aller voir la petite et son frère.
Moi : Comment tu t'appelles ?
Harper : Harper et toi ?
Moi : Auriane.
Harper : T'as un accent, tu viens d'où ?
Moi : Je suis française.
Harper s'en alla voir ses autres frères, il ne resta plus que moi et Brooklyn.
Moi : Vous avez une salle de sport ? J'aurais bien aimé courir en ville mais j'ai peur de m'y perdre
Brooklyn : Bien sûr d'ailleurs je vais y aller, mais il vaudrait mieux se changer avant.
Je n'avais toujours pas enlevé mes talons et j'avais quand même mal aux pieds. J'avais hâte de me défouler, je monte pour aller jusqu'à ma chambre avec Brooklyn pour aller à notre dressing. Je prends mon jogging noir Nike, ma brassière de sport vert anis et mes chaussures noires de la même marque et m'habilla. Brooklyn s'habilla dans sa chambre aussi puis me demanda si j'étais prête. Je descends avec lui au RDC où une immense salle de sport avec tout le matériel nécessaire est là. Je cours sur le tapis roulant le plus longtemps possible, fais des abdos, des fessiers , travaille mes jambes, fais des pompes, mes bras et du gainage comme d'habitude. Brooklyn lui avait terminé depuis longtemps. Je sors de la salle puis remonte dans ma chambre et dans la douche. Je sors et me change, je porte une simple robe d'été de chez Desigual (très coloré vu que c'est de chez eux) arrivant aux genoux, j'ai fais une tresse épi de blé, et me repose sur mon lit ultra confortable. Brooklyn fais glisser la porte coulissante et rentre. Il s'allonge avec moi sur mon lit en regardant le plafond.
Brooklyn : Je n'avais pas remarqué que tu étais française à première vue.Maintenant qu'on se concentre sur tes mots, on peut entendre ton joli accent.
Moi : Merci, j'essaie d'améliorer mon accent de jour en jours.
Brooklyn : C'est pour ça que tu es là ?
Moi : Non, mes parents sont des amis des tiens, vu que mon père habite ici pour son travail, et qu'il est parti allé rejoindre ma mère à Milan, je dois rester ici en attendant.
Il se tourne sur le côté vers moi.
Brooklyn : Tu peux rester tout le temps que tu veux, pour une fois que je n'aurais pas l'impression de faire du babysitting !
Moi : Ah ah ! C'est super gentil ce que tu dis, si tu viens à Paris, je te laisserai une place. Quand est-ce que vient ton père ? Ça fait depuis longtemps que je ne l'ai pas vu !
Brooklyn : Il revient ce soir, mais il y a moi !
Nous continuions à discuter jusqu'à 19:00, Victoria nous appelle pour dîner. Au menu : Salade de concombre saumon aux épinards et crème anglaise, j'adore ça, Victoria le savait, mais ce ne fut pas le cas de tout le monde.
Moi : Oh merci Victoria, tu t'en souviens encore !
Cruz : Maman ! Il y a que Brooklyn et Auriane qui aiment les épinards !
Roméo : On mange quoi alors ?
Victoria : C'est bon je vais vous faire des pâtes à la bolognaise.
Nous mangeons tous, à 20:16, David rentre chez lui. Je sors de table et saute dans ses bras comme j'avais l'habitude de le faire.
David : Auriane ! Tu es enfin venue ! Comme tu as grandis, et comme tu m'a manquée !
Moi : Vous m'avez énormément manqués toi et Victoria, c'est tellement gentil que tu m'ait reçue chez toi ! Merci honnêtement.
David : Je pense que je ne vais pas te rendre à tes parents toi !
Je retournes à table avec David avec le sourire jusqu'au lèvres. Je termine mon repas, souhaite une bonne nuit au couple, puis j'aide Brooklyn à coucher Harper et Cruz. Nous leur faisons brosser leurs dents, et je fais changer et coucher Harper. Roméo dort à son tour aussi. Je me rends dans la chambre de Brooklyn. Il était sur son lit, et je viens le rejoindre.
Brooklyn : On laisse la porte coulissante ouverte cette nuit ?
Moi : Pourquoi pas... Ah oui, je voulais te poser une question : Est-ce que vous sortez souvent à Londres à cause de votre célébrité ?
Brooklyn : C'est assez dur, mais je t'y emmènerais quand tu voudrais.
Moi : T'es adorable.
Je sors de sa chambre et me change, je me mets en pyjama : une combishort-pyjama grise et blanche et me démaquille. Je détache mes cheveux afin de les libérer. Et je vais me coucher dans mon lit que je n'ai plus envie de quitter.
Je me réveille grâce a la lumière du jour qui éclaire et réchauffe mon visage. Je tournes ma tête vers ma gauche et je vois Brooklyn dormant toujours, sur le dos. Je ne vais donc pas l'embêter. Je me douche, je garde la serviette enroulée sur moi, je choisis mes habits et je me maquille je me fais un simple trait d'eyeliner noir et du mascara noir. Brooklyn se réveille. Et me fais la bise, en me faisant très mal.
Moi : Je t'apprendrai plus tard à te faire la bise.
Brooklyn : Honnêtement c'est la première fois que je l'a fais. Je vais prendre ma douche à toute !
Pendant ce temps je décide de m'habiller : j'opte pour un style assez masculin pour aujourd'hui : je mets un jean slim gris, avec un t-shirt de Brooklyn, et mes Stan Smith. Ce n'est pas dans mon habitude de piquer les affaires des autres, mais je pense qu'il me pardonnera. Personne n'est là, sur le plan de travaille, un mot y est laissé : "À Brooklyn et Auriane, Roméo Cruz et Harper sont partis chez leurs nounous, nous sommes partis pour nos rendez-vous professionels, nous arriverons ce soir tous ensemble, on mange au restaurant d'ailleurs. On vous laisse ma maison, pas de bêtises ! On vous aime : David et Victoria/Papa et Maman."
Je vais faire des crêpes, nous avons toujours pas mangés et Brooklyn est toujours sous la douche. Je mets de la musique à fond et prépare mes crêpes. Je danse en mélangeant ma pâte à crêpe, mes musiques préférés y sont et je m'éclate littéralement. Notre petit-déjeuner est presque prêt, et Brooklyn descend enfin, il lit le mot et mange des crêpes qui ne sont pas toutes finies. Je lui tapes sur doigts comme des enfants, et me fait un bisou sur la joue pour le remercier pour ce repas français. J'éteins la chaîne Hi-Fi, et installe le Nutella sur la table avec les crêpes.
Moi : On a la maison à nous tous seuls aujourd'hui, c'est pas trop génial ?
Brooklyn : Grave, tu ne veux pas qu'on en profiter pour au moins que tu visite le quartier ?
Moi : Ça serait trop bien, au moins je pourrai courir en plein air.
Brooklyn : Je t'ai fais visité le jardin ?
Moi : Non mais on verra ça plus tard au pire.
Nous sortons de la maison et je visite le quartier avec lui, c'est un quartier très aisé et très agréable. Il m'explique que quelques célébrités habitent dans les alentours, ici les paparazzi ne peuvent pas entrer, l'entrée est sécurisée.
Moi : Pourquoi vous n'aimez pas les paparazzi ? C'est assez flatteur d'être pris en photo tout le temps non ?
Brooklyn : Certes, mais quand tu es célèbre depuis ta naissance ça saoule. Surtout que parfois où t'es pas coiffé, mal habillé, t'as pas envie d'être pris en photo.
Moi : Ah je comprends...
Brooklyn : C'est pas mon t-shirt que tu as sur toi ?
Moi : Si, tu ne m'en veux pas ?
Brooklyn me porta sur son épaule, arriva dans le jardin et me jetta à la piscine. Il me tenda la main pour me récupérer, mais je le tira vers moi pour le faire plonger. En sortant de la piscine, on enleva nos affaires directement dans le jardin (sauf les sous-vêtements bien sûr) et les mirent au sale pour ne pas tremper la maison. Je me changea et mis mon maillot de bain et pris ma crème solaire et ma serviette de bain.
Moi : Tu viens avec moi ?
Brooklyn : Oui je te rejoins.
Je m'en vais sur les transats, je m'applique de la crème solaire, et l'allonge sur le ventre, enlève le noeud de mon maillot de bain pour qu'il n'y ait pas de traces. Brooklyn me rejoint. Il est super bien foutu, mais j'évite de le regarder un peu plus de peur qu'il ne le remarque. J'ai l'impression qu'il me regarde. Soudain, je sens quelque chose de froid et une main sur mon dos, je me retourne furtivement, c'est Brooklyn qui l'applique de la crème solaire
Brooklyn : Excuse moi, j'ai vu que tu n'avais pas mis de crème solaire à cet endroit, donc j'ai voulu t'en mettre.
Moi : C'est rien, je ne m'y attendais pas c'est tout.
Je ne veux pas me sentir attirée par lui, je n'ai absolument pas envie d'être sous le feu des projecteurs. Je pars du transat pour pouvoir me détendre sans être avec lui, plus je serais en compagnie de Brooklyn, plus je serais attirée. Je prends un roman policier que j'ai ramené, et l'allonge sur le hamac gris se balançant par la force du doux vent. Je ne fais pas attention à ce qu'il fait, je suis complètement obnubilé par mon livre, tellement passionnant. Mais soudainement, une ombre vient me perturber. C'est Brooklyn.▶Voilà ! Ça a mis extrêmement longtemps à venir mais j'ai enfin trouvé le temps de le faire, j'ai été stupéfaite par le nombre de vue qui avaient augementés. Si vous avez des critiques constructives à me donner, n'hésitez pas ! ◀Inès

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Happiness.
RandomAuriane, 16 ans, Parisienne s'apprête à vivre un gros changement dans sa vie. Entre amour, amitié et trahison, voici "Happiness." ▪Inès