Hunter 52

379 50 2
                                    




Ça va faire une semaine qu'on est ensemble avec Bonnie et Louis, on trouve notre chemin et je suis heureux.

Jess lui est partie et m'a laissé les rênes de son bar, donc on a mis en place des nouveaux horaires pour qu'on puisse passer des moments avec notre copain. Ce soir, c'est une soirée Basket et en général, on a du monde, alors je suis à la préparation des planches de dégustation qu'on serre.

- Hunter ?

- Candy, un souci ?

Au son de sa voix, je me tourne et je vois la tête de mon frère qui dépasse la sienne. Bonnie a ce regard et je la rassure tout de suite, en lui faisant un clin d'œil. Mon frère entre en regardant Bonnie qui retourne dans la salle.

- Je comprends pourquoi tu n'es pas venu dimanche, tu as trouvé une occupation.

- Connor ne commence pas, je ne vais pas passer ma vie à venir tout les dimanches chez les parents.

- Je ne te comprends pas, tu as t'en de talent que tu gâches.

- Commence pas

- Quoi, tu as fait une grande école de cuisine, travailler avec le plus grand chef en France, tu as eu ton propre restaurant et a trente ans, tu vends tout et tu viens retrouver ton à de copain et tu quittes même ta fiancée.

- Connor, dis-moi en quoi ça te dérange ? ... C'est ma vie que je sache.

- Voir mon petit frère gâché sa vie, me regarde et il est grand temps que quelqu'un te fasse ouvrière les yeux.

- Je suis d'accord avec toi, il est grand temps que j'ouvre les yeux, je suis désolé, mais une personne la fait avant toi... Je vais appeler papa et maman pour les inviter, il a du changement dans ma vie et même si je suis adulte et que je n'ai pas de compte à rendre je vais vous dire ce qui se passe. Merci d'être passé, mais là, j'ai du travail.

- ... Quoi, tu

- Connor, j'ai du travail,

Mon frère quitte ma cuisine et je prends mon téléphone pour appeler Louis.

- Oui, chéri

Je souris comme un con, à chaque fois que Louis me dit " Chéri "

- Bébé, mon frère vient de passer, on peut inviter mes parents chez toi pour que je puisse leur parler.

- Oui, bien sûr tu es chez toi, comment tu vas ?

- Très bien, je sais ce que je veux et c'est vous deux.

- Je suis heureux de l'entendre. Hunter tu dois parler à Bonnie de ce que tu m'as dit ton père ne va pas être tendre est celle qui a une faiblesse, c'est Bonnie.

Cette dernière entre et je vois qu'elle se pose de questions. Je lui souris.

- Je vais le faire tout de suite. À tout à l'heure.

- Je serais là dès que tu as besoin, à tout à l'heure.

On raccroche, et je dis à Bonnie de venir dans mes bras.

- Tout va bien ? Je lui demande

Elle lève les épaules.

- Bon, je t'ai déjà parlé de mes parents, ils sont très intrusifs et mon frère est comme eux. Ce que je ne tais jamais dit, c'est mon parcours, à quinze ans, je suis parti en France jusqu'à mes vingt et un ans. J'ai étudié dans une grande école de cuisine ou j'ai été repérais par un grand chef Français. Quand je suis rentré aux États-Unis, j'ai ouvert un restaurant et au bout d'un moment, j'en ai eu marre, je n'avais pas de plaisir dans ce que je faisais alors j'ai vendu et je suis revenu ici, Jess m'a proposé de bosser avec lui et j'ai enfin pu m'amuser.

- Je ne comprends pas.

Je prends son visage en coupe

- Connor me saoule pour que je remonte un resto, et mes parents on même fait intervenir mon ex de l'époque... Carla m'appelle régulièrement, je ne réponds pas à ses appels, mais ci Connor vient ici, c'est qu'ils vont passer à la vitesse supérieure.

- Tu veux faire quoi ? Me demande-t-elle.

- Je vais les invités chez Louis leur dire pour nous, mon père et de nature obstiné et il va chercher la petite bête, tu vas devoir être forte et pas te laissé faire, car il va fouiner dans ton passé.

- Mais je n'ai rien fait de mal.

- Je sais, mais si il peut te mettre un doute dans ta tête, il le fera .

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~


3 Jours plus tard

On attend mes parents, je leur ai dit que je devais leur parler, ma mère à demander pourquoi on allait manger chez un ami. Ma réponse a était qu'ils seraient une fois sur place.

La sonnette nous signal que mes parents sont là, j'embrasse Bonnie, lui donnant du courage et Louis me sourie et prend mon visage en coupe.

- Tout va bien ce passé des qui sont partis, on monte et on va baiser comme des dingues,

Je n'ai pas le temps de sourire qu'il m'embrasse comme ci sa vie en dépendait.

On tire sur le bras de notre femme et on l'embrasse chacun notre tour alors que sa frappe à la porte.

- Aller, on est partis. Je leur dis

Je vais ouvrir la porte.

- Papa, maman entré.

- Ah enfin ! Râle ma mère.

Je me pousse et ma mère passe, suivi de mon père et de Carla, je souffle alors qu'elle me décroche un grand sourire.

- Hunter, je suis heureuse de te voir.

- Ce n'est pas réciproque.

- Monsieur et madame Jones, allons dans le salon, leur dit Louis.

Une fois tout le monde installait dans le salon je fais les présentations.

- Louis Martinez, le décorateur ? demande Clara

Je reconnais son regard, mon homme vient de lui taper dans l'œil.

- Oui, je suis architecte d'intérieur. Je vais chercher l'apéritif.

Louis nous laisse pour aller dans la cuisine.

- Je voulais vous dire qu'il a dû changement dans ma vie,

Louis arrive et pose ce que j'ai préparé. Il serre du vin à tout le monde et vient prendre place à coté de notre femme.

- Donc je disais qu'il avait du changement dans ma vie, je voulais présenter mes conjoints.

- Ton frère nous a déjà dit que tu étais avec cette jeune femme. Me dit ma mère.

- Maman, je suis avec Bonnie effectivement, mais je suis aussi avec Louis.

Mon père rigole, lance un regard noir à Bonnie.

- Vous avez tout compris, jeune fille, deux hommes qui ont plus que réussie leur vie,

- Papa !!

- Mon fils, je ne te comprends pas, Felipe m'a dis qu'il t'avait proposé un partenariat, mais tu as dis non, tu fais n'importe quoi.

Mon père se leva et dit a ma mère de faire de même.

- J'ai une question, papa ?... A 32 ans ce sont tes parents qu'il te disait quoi faire de ta vie.

- Non, j'étais marié, moi.

- C'est bien, moi je ne suis pas marié, mais je suis avec deux personnes qui me rendent heureux comme jamais, je l'ai été. Alors si avoir ton enfant heureux ne te suffi pas je pense que on a plus rien à ce dire.

Mes parents sortent, Clara nous regarde et suis mes parents.

50 Nuances d'imaginationsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant