Chapitre 17 : Un grand frère providentiel

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Bonjour tout le monde, j'espère que vous allez bien, de si bon matin. Il est tôt mais je travaille et je veux pouvoir profiter de ma pause de midi au maximum donc je publie maintenant. Comme vous l'avez remarqué, je n'ai pas publié depuis un moment. En vérité, le peu d'enthousiasme et le manque de commentaires de personnes qui jusqu'ici commentaient pourtant très régulièrement mes histoires m'a quelque peu blessée et fait remettre en doute mes propres histoires. Heureusement pour moi, ma chérie est de très bon conseils et je n'ai pas abandonné. Je suis là, avec un nouveau chapitre, dont je suis extrêmement fière. Plus de 3000 mots en trois jours, ça fait du bien. Pour ceux qui restent, je vous souhaite une très bonne lecture. Pour ceux qui ont abandonné en cours de route, je continuerais malgré tout d'écrire, non pas dans l'attente de vos commentaires, mais avec le bonheur de faire vivre mes mots, mes histoires et les personnages qui les habitent. A bientôt, Blue. 

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Douze. C'était le nombre de fois qu'Alec avait dû retourner au vestiaire chercher Jace qui, soit disant, aurait oublié l'intégralité de ses affaires. Une fois son téléphone, une autre son chargeur, ou encore une autre où il avait prétendu avoir oublié sa raquette de tennis dans son casier. Alec avait haussé un sourcil significatif : le blond ne jouait même pas au tennis ! Le seul sport susceptible de l'intéresser était la course automobile, et il le pratiquait uniquement sur sa console de jeu. Le noiraud, malgré tout, fut amusé par tout le cinéma de son meilleur ami. Jace aurait été capable de prétendre avoir oublié son service trois pièces ou même l'un de ses deux reins pour pouvoir retourner au vestiaire. La raison ? Raphaël Santiago était en train de s'y changer pour prendre son service de nuit. Leur routine était toujours la même : Jace et Alec croisaient Simon et Raphaël tôt le matin lorsqu'il prenait leur garde pour la journée, tandis que les deux autres rentraient chez eux se reposer, l'hispanique ayant toujours fait les nuits dans leur service. Une fois leur journée terminée, le noiraud et son meilleur ami les recroisaient lorsqu'ils revenaient pour la nuit, et ainsi de suite. Le problème étant qu'il était déjà dix-neuf heures passées et que l'ambulancier avait promis à sa petite sœur de passer la prendre à son studio de danse pour l'emmener avec eux au Pandémonium. Camille, qui avait elle aussi été invitée, ne les rejoindrait au club qu'à vingt-heure trente, après avoir terminé son service. La jeune blonde avait promis de passer prendre le repas qu'ils picoreraient entre deux verres d'alcool et quelques danses un peu bancales. A la treizième fois, lorsque le blond ne prétexta même plus la moindre raison abracadabrante pour retourner dans les vestiaires, Alec laissa tomber le combat et lui concéda quelques minutes avec Raphaël. De toute façon, l'hispanique tenait trop à son travail pour avoir la moindre minute de retard et il serait bien obligé, tôt ou tard, de relâcher son homologue blond. Adossé au mur extérieur des vestiaires qui donnait sur la cours où étaient garées les ambulances du service, Alec décida de s'en griller une sèche pour passer le temps. Expirant son premier panache de fumé irritante, le noiraud écouta distraitement la conversation presque lunaire qu'était en train d'avoir son meilleur ami.

- Alors...pas trop dur de reprendre le soir après s'être reposé la journée ? Cest vrai que je ne t'avais jamais demandé..., souffla-t-il en donnant un léger coup de pied dans le vide, les yeux légèrement baissés. Ça ne te manque pas, de vivre en journée ?

- Je suis un oiseau de nuit, Jace, s'amusa gentiment le plus vieux. La nuit, c'est mon domaine. Et puis, de toute façon, c'est durant le service de nuit qu'il y a les cas les plus intéressants. Les plus graves, oui, mais les plus passionnant. Dios, laissa-t-il brusquement échapper en refermant vivement la porte de son casier, c'est quoi cette odeur ?

- Quoi, quelle odeur ? Je ne sens rien !

- Mais si...attend ! Ne bouge pas, exigea-t-il en se penchant vers lui, son visage à quelques centimètres de son cou. C'est toi...tu sens bon. Tu sens très bon, chuchota-t-il comme pour lui même.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 16 ⏰

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