𝑺𝒕𝒓𝒂𝒏𝒈𝒆 𝒇𝒆𝒆𝒍𝒊𝒏𝒈

Capítulo dieciocho

Espagne / Barcelone
Lamine Yamal

Je me réveille avec un mal de dos atroce. Je n'aurai peut être pas du dormir... par terre ?

Mais oui ! Hier soir on regardait les étoiles et puis on c'est endormi, tout les deux par terre. Franchement Pablo aurait pu nous réveiller.

La petite blonde se réveille également et nous rentrons à l'intérieur.

- Nous réveiller hier soir c'était une option ? râle t'elle

Je remarque que Liza n'est pas là, elle doit être à l'université. Pablo arrive avec le petit déjeuner en levant les yeux.

- On trouvait que vous dormiez bien au sol. ricane t'il

Amaya souffle à son tour. Leur ressemblance me frappe en la voyant lever les yeux.

On finit par tous s'installer autour de la table. Je parle foot avec Pablo et Amaya nous écoute d'une oreille.

- Et le bac alors ? demande Pablo

- Je sais pas si je vais l'avoir hein. soufflais je

- Dis pas ça ! s'exclame Amaya

- Facile à dire tu l'as déjà.

- Oui mais quand même. Sinon j'ai trouvé un job après les cours.

- Un job ? demandais je

- Depuis que mon père est seul, j'ai décidé de l'aider financièrement. En plus ça paiera mes études.

Amaya n'aime pas beaucoup parler d'elle. C'est pour ça que beaucoup n'avait pas fait le lien entre elle et Pablo. De ce que je sais, elle veut s'orienter dans l'art.

- Tu sais que je suis là hein. dit Pablo

- Je sais mais j'aime pas savoir que je suis dépendante de toi.

Pablo souffle, il aime vraiment aider sa famille. Le soucis c'est que c'est deux têtes de mules.

Après le petit déjeuner fini on part. Vu que je suis galant je décide de la ramener jusqu'à chez elle.

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Espagne / Barcelone
Amaya Gavira

On est arrivé devant chez moi, c'est donc là que nos chemins se séparent.

- C'est quand que tu commences déjà ? demande Lamine

- Cet aprem !

- C'est ouvert le dimanche ?

- Faut croire, c'est hyper touristique. Enfin je vais pas me plaindre ça paye bien.

Il acquiesce et me fait un bisou avant de partir. Personnellement je rentre chez moi. Étant dimanche mon père est à la maison.

- C'était bien chez Pablo ? demande ce dernier

- Oui très, vu l'heure il avait pris la décision de nous laisser dormir chez lui.