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Je tiens juste a dire que c'est ma première histoire donc soyez indulgent envers moi s'il vous plaît 🥺. J'aime juste écrire. Si je fais des fautes d'orthographe ou que vous trouvez que mon histoire part en cacahouètes, n'hésitez pas. Je ne suis pas souvent régulière je suis encore étudiante donc..., mais j'essayerai de poster le maximum de fois possible, sur ceux...

BONNE LECTURE.❤️
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Alors que mon amie et moi grimpons le mur du lycée j'ai pu apercevoir les garçons nous attendre juste en bas. J'avoue que c'est vraiment le bon jour, il pleut mais c'est justement pour ça qu'on est venu ici a cette heure tardive pour mettre du "piment" a cette journée. Quand on a finalement réussi par descendre, on se précipitait dans la classe 1-A, lorsqu'on arriva devant cette classe on déplaçait les chaises de devant pour y former un cercle avec les chaises. Lorsqu'on s'assied Alexandre commença :

- Vous avez entendu la légende de ce lycée?

-Quelles légendes, on répondaient en cœur

- La rumeur raconte qu'un garçon se serait suicidé, ici dans cette classe, mais personne ne sait pourquoi. Une prof aurait vu une silhouette blanche à sa fenêtre, la nuit où il s'est suicidé. Il parait qu'il a laissé une lettre expliquant pourquoi il a fait ça, mais personne n'a osé la lire a part une fille, on dit que ceux qui s'assoient à sa place ont des cauchemars où il les supplie pour le venger...

Subitement on entend un bruit d'éclair et les bruit de pluie s'intensifier, et tout d'un coup on entendait des bruit de pas et des lumières de lampe torche s'approcher de notre classe. A ce moment là on a tous couru certains croyait que c'était ce fameux garçon d'autre -comme moi- pensais que ça pourrait être le gardien, alors qu'on se dépêche a sortir de ce lycée on se séparer -en espérant que certains- évite d'être chope et frapper par leurs mère, alors que je couru vers la gauche, les 3 autres alla vers la droite -c'est *****- pendant que je courais, mes jambes lâcher par la douleur, je tombais la tête la première et ça fait un mal de chien.
Quand tout d'un coup je sentais plus la pluie me tapais dessus, quand j'appercu un garçon au cheveux blonds je pouvais pas bien voir les trait de son visage, mais on pouvait apercevoir son sourire aussi blanc qu'un bonbon a la menthe.
En me retournant pour voir si le gardien me poursuivait, je pouvais voir qu'il avait lâcher l'affaire le gardien -il devait avoir la quarantaines donc- alors que je voulais remercier le garçon de m'avoir couvert, je sentais instantanément la pluie se reprendre de nouveau sur mes vêtements, je pense qu'il est temps de rentrer à la maison maintenant.

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Le lendemain matin alors que je dormais paisiblement pour récupérer les heures de sommeil raté par hier, ma mère déboula dans ma chambre dans le plus grand des calme et ouvrir les rideaux de la fenêtre.

-Aarg maman, tu fait quoi la?!

-Tu va me ranger ta chambre maintenant et jeté tes affaires que tu utilises pas, j'en peux plus de cette porcherie qui te sert de chambre!! Et regarde si il y a des trucs qui t'intéresse la dedans, dis elle en posant une boîte de carton sur mon étagère

-D accord je vais ranger mais tu peux sortir s'il te plaît ?! J'aimerais avoir mon espace sans que l'on me dérange!, dise de mauvaise humeur a cause du manque de sommeil.

- Je te jure les jeunes d'aujourd'hui sont vraiment pas croyable garde des économies a tes 18 ans pile je te vire d'ici j'aimerais retrouver la jeunesse que je t'ai donné, dit elle en colère -meme si je sais qu'elle le pense pas- en claquant la porte derrière elle.

Je me rallonge dans mon lit quand j'entendis au loin la voix de ma mère -REVEILLLE TOI!!!
Je pense pas que je vais pouvoir dormir.
Je me levais de mon lit pour regarder cette boîte de carton de plus près, dedans il y avait des choses inutiles, des poupées -flipantes-, de la dinette, des stylos, etc... Au point que je me demandais si ma mère savait mon âge, mais tout d'un coup je vis un journal -peut être un journal intime- ça me ferait bien rire de voir si qu'il y avait écrit dedans -meme si ça se fait pas, je voulais juste voir les premiers page...
Alors que j'ouvris la première page, je pouvais voir la première phrase..

"Le lycée a fait de moi une fille détruite..."

Mais ce qui suivit me glaça le sang. Ce n'était pas seulement une confession... c'était un avertissement...
D'un geste rapide, je refermai le journal et le jetai dans la boîte, mon cœur battant à tout rompre.

Je ne pouvais pas continuer à lire. Pas maintenant. Mais il était trop tard : je savais que je ne pourrais plus faire marche arrière...

AngelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant