chronique de Najwa:"On l'aura notre belle histoire"

11

Salem aleykoum

Bonne lecture

Chapitre 11

Appel "inconnu"

Hamza: we allo

...: ......

Hamza: tia cru quoi que t'allais appeler ma sœur.

...: ......

Hamza: je vais te niker, je me retiens fort là de pas te péter la gueule.

...: ......

Hamza: rappelle-la, tu vas voir.

...: .......

Fin d'appel

Moi: c'est qui ?

Hamza: Rayane.

Moi: qu'est-ce qu'elle veut la clocharde ?

Hamza: mdrr, chp il n'a pas voulu me dire, après je l'ai menacé brefff tia compté.

Moi: we.

J'ai pas capté mais oklm.

Je vous passe le reste, l'infirmière m'a dit que je peux sortir et elle m'a prescrit une crème à mettre.

On allait sortir de la chambre jusqu'à que le téléphone de Hamza sonne.

 Moi: c'est qui ?

Hamza: Ali.

Il répond.

Hamza: we allo.

Ali: wsh t'es où ?

Hamza: à l'hôpital.

Ali: tu fous quoi là-bas ?

Hamza: ch'ui parti voir Najwa.

Ali: elle est tombée à vélo par ta faute cette fois ?

Hamza: mdrr nan, c'est se fils de pute de Rayan.

Ali: il a fait quoi ?

Hamza: attends j'arrive et je te raconte.

Ali: azz.

Il a raccroché.

Hamza: le bâtard, il pensait que c'était de faute moi que tu étais à l'hôpital.

Moi: mdrr.

On arrive au quartier, Hamza est resté en bas avec Ali et moi ch'ui monté.

Il était 21h.

J'ai rejoint, mais parent dans le salon et je me suis endormi sur le canapé ma tête sur les jambes de mon père.

Le lendemain, je me réveille, dans ma chambre, il était 12h.

Je me réveille par le bruit de l'aspirateur.

Y a pas un jour où je peux me réveiller par moi-même.

Je fais ma routine du matin, je mets la crème que l'infirmière m'a donnée et je vais dans le salon.

Je prends mon petit déjeuné en même temps que mon père.

J'ai mangé du bon thé à la menthe marocain et mesmen au miel alala meilleure chose.

Baba: c'est quoi ça sur ton visage.

Moi: ce n'est rien tkt.

Baba: t'es sûr ?

Moi: oui, tkt pas pour ça.

Baba: okok.

Je finis de manger et je vais dans ma chambre.

Mon téléphone sonne.

Appel "Maïssa 🐨"

Maïssa: allooooooooo.

Moi: alloooooooooooooooo.

Maïssa: il m'arrive des dingueries en ce moment faut, je te raconte.

Moi: bah, vient-on sort.

Maïssa: azz, quand ?

Moi: 15h.

Maïssa: azz, à toute.

Moi: à toute.

Fin d'appel.

Je me lève et je vais dans la chambre de Hamza.

Il dormait comme un bébé.

Je vais m'allonger à côté de lui.

Moi: AHHHHHHHHHHHH.

J'ai crié pour lui faire peur. Il s'est réveillé d'un coup.

Hamza: wshh qu'est ce qu'il y a ?

Moi: BAHAHAHAHAHAHA, tu as eu peur la honte.

Hamza: Najwa sort.

Moi: nan.

Hamza: Najwa sort vite.

Moi: pourquoi ?

Hamza: parce que je ne vais pas me retenir de te frapper.

Moi: ok.

Hamza: mais wshh Najwa, tu me cherches, c'est ça ?

Moi: we.

Hamza: t'es sûr ?

Moi: we.

Il a commencé à me faire des guilis, ma phobie.

Moi: HAMZA ARRÊTE.

Hamza: c'est toi, tu me cherches, je t'avais prévenu.

Moi: HAMZA ARRÊTE S'IL TE PLAÎT.

Hamza: alors tu dis "est-ce que tu peux arrêter mon frère d'amour que j'aime de tout mon cœur".

Moi: mais tu m'avais dit que si un jour, je te mens, tu me feras regretter ma vie.

Hamza: t'es sah là, t'es sah.

Moi: nan c'est bon.

Hamza: dit la phrase si tu veux que j'arrête.

Moi: est-ce que tu peux arrêter mon frère d'amour que j'aime de tout mon cœur ?

Hamza: voilà, c'est facile, maintenant pars.

Moi: tshiiiiiip.

Hamza: dégage.

Moi: ch'ui sorti en claquant la porte.

Hamza: nique ta race.

Moi: MAMA, HAMZA IL A DIT UN GROS MOT.

Hamza: MAMA, NAJWA ELLE EST CHIANTE.

Moi: MAMA, HAMZA IL A REDIT UN GROS MOT.

Hamza: MAMA, C'EST QUAND QUE TU DIS À NAJWA QU'ELLE EST ADOPTÉ POUR QU'ELLE RETOURNE DANS SON BLED AVEC SA VRAIE FAMILLE.

Mama: C'EST TOI QUE J'AI ADOPTÉ OUI.

Moi: tia trop le seum.

Je vais dans le salon prendre mon petit-déjeuner.

Ça sonne à la porte.

Mama: NAJWA VA OUVRIR.

Moi: pourquoi tu cries ch'ui à côté.

Mama: VA OUVRIR.

Je me lève et je vais ouvrir la porte.

...: salem.