Le soir où les étoiles se sont éteintes

Chapitre 3

La nuit est tomber il y a un peu plus de 3H. Des gens à cette heure si dort, d'autre fond la fête... moi je suis comme une bougie, plus le temps passent, plus je me sens fondre dans la solitude. J'arrive en bas de chez elle. Mes mains trembles à un point que j'ai du mal à prendre mes clefs et d'ouvrir la porte. Tout ce que j'espère malgres tout ces événements, c'est qu'elle soit là quand j'ouvre cette porte. Je veux la voir assis sur le canapé entrain de regarder la télé.. elle peut pleurer à chaud de larmes, en mangeant des Häagen-Dazs devant la pire émissions qui puisse passer à la télé mais je veux la voir dans cette maison en vie.

C'est stupide c'est vrais, de ce suicider pour un si petit trucs mais ça ne veux rien dire : un bout de pain peut être minuscule pour l'être humain, mais immense pour une fourmi. Je dis pas que dans ma phrase, l'humain ressemblant à la fourmi est faible... mais qu'elle est remplis de force.

J'ouvre enfin la porte... les mains tremblante. En levant les yeux, pas de Ayline.. ça serais trop beau pour être vrais, je déteste cette phrase. Je ferme la porte derrière moi.

La télé est bien allumé, elle l'était déjà quand j'étais partis. La maison est sombre, elle est plongé dans une nuance de gris tellement triste que mes yeux ne peuvent pas se déplacer correctement...

- Ayline ?!

Je cris son nom, en espérant entendre au moins un « oui ? » mais rien. Je n'ai pas le morale ni le temps pour avoir le réflexe de retirer mes chaussures. Je marche dans le salon... le son de la télé est assez fort. Je peut reconnaître les vieille séries américaines des années 2000 où on peut entendre au fond des rires après chaque blague pas drôle.

Je marche lentement et discrètement dans la cuisine, comme si je ne voulais rater aucun son qui résonne dans cette maison. Je retrouve l'alliance qui ce trouve encore sur le bar, elle n'as pas changer de place depuis que je l'ai poser. Je décide de la prendre, peut être que je rendrais cette bague à Ayline, en main propre.

La cuisine est une cuisine ouverte, si il y aurais quelqu'un ou une lumière allumée, voir même un rat passer, je l'aurais vus. Rien ne ce trouve à cette étage... même pas une poussière.

Je pousse un soupire, je ne pourrais pas donner d'émotion à cette action tellement qu'elle est fade et sans goût, mais peut importe, on ne s'intéresse pas au sons que je fais.

Mes yeux ce tourne vers un cadre qui ce trouve également sur le bar de la cuisine. Un cadre où contient une photo de moi et Ayline. C'était y'a 3 ans environ, nous étions pas encore marier en ce temps là. Cette photo est simplement un souvenir de nous... il me semble que c'était dans un parc à coter de chez ses grands-parents... tout allais bien durant cette periode.

Je sors de mes pensées... un sons grave retentis... je n'ai pas le temps de réaliser que je croyais que c'était probablement le son de la télé ? Je baisse les yeux vers la télé, en entendant toujours des personnes rire... ce n'étais pas la télé...

Des larmes me montent, mon cerveau ne comprend pas mais mes yeux comprend on dirait. Ce bruit était dans la maison, ce bruit provenait d'un objet dangereux que j'ai perdu..
Un sanglot s'échappe de mes lèvres..

- non... non... non

Je cours difficilement dans les escaliers, laissant mes pas faire un bruit monstre qui retentit dans toute la maison. Je regarde le couloir, encore plus sombre que le salon. Le couloirs n'est pas gris comme l'autre pièce, elle est noir... comme la mort...