8. Confrontation

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Point de vue Jordan

J'étais là, allongé sur mon canapé à regarder le vide, j'avais que Gabriel dans la tête et la manière dans laquelle je l'ai renvoyé, mais bon si il n'a même pas confiance en moi ou même qu'il ne me croit pas c'est tant pis pour lui mais faudra pas qu'il vienne pleurer dans mes bras.

J'étais dans mes pensées quand mon téléphone se mit à sonner.

"Du coup, Jordan faut trouver quelque chose contre Stéphane à montrer à la police je suis sur que c'est lui."

"Oui Maelys moi aussi je suis sur mais bon on a aucune preuve."

"Je vais chercher et je te redis."

"D'accord et moi je vois ce que je peux faire de mon côté."

J'éteins mon téléphone et je décide d'aller me promener vers le parc pas loin de chez moi, je me lève et je mets mes chaussures Adidas et ma veste, je prends mes clés sur le porte-clés et je sors.

Il fessait nuit dehors seuls les lumières éclairaient les rues, je prend mes air pods dans la poche de ma veste et je les mets. Je prends mon téléphone et je mets de la musique ça me permet d'oublier, oublier le monde cruel qui m'entoure, oublier Emmanuel, Stéphane et surtout Gabriel.

Une fois à une centaine de pas du parc je voyais au loin de silhouette se battre je m'approche et quand je reconnais l'une d'entre elle... C'était Stéphane, je retire mes écouteurs et je me cache derrière une voiture pas loin des deux personnes en essayant d'identifié celle en face de Stéphane. Cette personne avait les cheveux longs, elle était assez petite, fine... Maelys...Pourquoi ?

J'étais sur le point d'aller les voir demander des explications mais Stéphane lâche le bras de Maelys et elle part limite en courant avant que je puisse intervenir. Je m'approche quand même de Stéphane qui lui était resté là. Pendant que je m'avance il lève la tête et me regarde.

- Monsieur Bardella quelle surprise.

- Séjourné qu'est ce qui vient de se passer ?

- Avec cette folle ? Rien elle m'accuse de quelque chose d'horrible mais vous aussi je crois.

- Oui exactement et je suis sur que c'est vous, arrêtez de nier.

- Jordan Bardella vous feriez mieux de vous mêler de vos affaires surtout quand on ne connaît pas l'histoire. Je n'ai rien fais maintenant lâchez moi !

- Pourquoi Maelys dit le contraire alors ?

- Mais je ne sais pas moi elle doit me détester ou quelque chose comme ça, mais je n'ai rien à me reprocher et puis j'ai été interrogé aujourd'hui et je l'ai dis à la police que je n'avais rien fait.

- On verra bien avec l'enquête mais je suis sur que c'est vous et si vous faites du mal à Gabriel vous verrez bien.

- Haha vous allez faire quoi ? Le dégager comme toute à l'heure ? Je suis au courant de tout n'oubliez pas que je suis son petit ami.

- Plus pour longtemps quand il saura la vérité.

- Sauf si j'ai raison.

Il commença à rigoler et se tourne pour partir mais je le rattrape par le bras violemment et on se regarda dans les yeux.

- Si vous lui faite du mal peut importe si je m'entend bien avec ou non je vous pète la gueule c'est bon ?

- Parfait monsieur Bardella mais vous pouvez me lâcher, Gabriel justement m'attends.

Je le relâche et le regarde partir et moi je resta planté la sans savoir quoi faire malgré que j'ai renvoyé Gabriel de chez moi je ne voulais pas qu'il lui arrive quelque chose de mal surtout si il sort avec un meurtrier sans le savoir. Je retourne chez moi et sur la route je prends mon téléphone.

"Maelys qu'est ce que tu foutais avec Stéphane ?"

"Comment ça tu nous a vu ?"

"Oui pourquoi tu ne m'as rien dit ?"

« Parce que il ma donné rendez-vous par rapport à mon accusation sur lui.»

"Bon d'accord mais la prochaine fois préviens moi."

"Promis mais sinon on se voit toujours demain soir ?"

"Ouais."

"Good à demain."

"A demain"

J'éteins mon téléphone avec un sourire bête aux lèvres, en même temps Maelys est magnifique, gentille, parfaite et en plus je devrais tourner la page avec Gabriel donc pourquoi pas...

Eyes don't lie tome llOù les histoires vivent. Découvrez maintenant