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Inoxtag

Bonne lecture<3
Commande de _urloveseyna
Cette imagine est inspiré de la vidéo des backroom de Inoxtag donc elle peut contenir des spoile pour les gens qui ne l'auraient pas vu.

Les heures passaient, lentes et oppressantes, comme si le temps s’était arrêté dans ces Backrooms étranges et cauchemardesques. Seyna, une streameuse pleine de vie et de détermination, se retrouvait plongée dans cet enfer numérique avec ses amis. Parmi eux, Inoxtag, avec qui elle entretenait une relation compliquée. Entre eux, une connexion intense, une amitié teintée d’incertitudes, de non-dits, et peut-être même de sentiments plus profonds. Mais Inox, hésitant, semblait toujours freiné, incapable de franchir ce cap. Était-ce la peur de l'engagement ? Ou simplement la peur de tout gâcher ?

Pourtant, dans cette situation, ces questionnements semblaient futiles, presque ridicules. Seyna était en danger. Elle était entre la vie et la mort, piégée dans cet univers terrifiant où leurs seules armes étaient leur intelligence et leur chance. La seule chose qui pouvait la sauver ? Un Rubik's Cube. Inox serrait l'objet entre ses mains, ses paumes moites et tremblantes. Le destin de Seyna reposait sur un jouet d’enfant. Et, comme pour ajouter à l’ironie de la situation, il ne savait même pas comment résoudre un Rubik's Cube.

Les doigts d'Inox glissaient nerveusement sur les faces colorées du cube, essayant désespérément de faire bouger les carrés sans vraiment savoir où il allait. Le stress le paralysait, chaque erreur le rapprochait un peu plus de l’échec. Ses pensées tournaient en boucle, toutes centrées sur Seyna. Et s’il la perdait ? S’il échouait ?

— Putain, ta gueule ! s'écria Inoxtag, sa voix brisée par la panique. Il parlait autant à lui-même qu’à ses amis autour de lui. Ses gestes étaient désordonnés, désespérés, comme s'il tentait d’échapper à la situation par la colère.

Amine, toujours calme malgré la pression, s’avança un peu plus vers lui, essayant de canaliser l’énergie chaotique qui émanait d’Inox.

— Relax, c’est juste un Rubik’s Cube. On va le finir en deux secondes, dit-il avec une assurance qu’il ne ressentait peut-être pas vraiment, mais il savait qu’Inox avait besoin de ça.

Assis sur le sol, Inox sentait le poids du cube dans ses mains comme une condamnation. Chaque seconde qui passait était un supplice. Il savait qu'il devait faire vite, mais plus il essayait, plus il sentait son esprit se bloquer. Les couleurs des faces semblaient se mélanger sous ses yeux, comme une métaphore de la confusion qui l'envahissait.

Michou s’approcha doucement, posant une main légère sur l'épaule d'Inox. Il avait vu son ami dans des situations stressantes, mais jamais comme ça. Jamais avec une telle peur.

— Inox, calme-toi, dit Michou d’une voix posée. Ce n'est pas comme ça que tu vas sauver Seyna.

Ces mots résonnèrent dans l’esprit d’Inox comme un écho. Il le savait, bien sûr, mais la panique l’aveuglait. Il tremblait, incapable de trouver la bonne combinaison, ses mains moites glissant sur le plastique du cube. L'image de Seyna, en danger à cause de son incapacité, le hantait. Ses lèvres tremblèrent, et il sentit les larmes monter. Ce qu’il redoutait depuis toujours, ce moment où tout pouvait basculer, était arrivé.

— Je veux pas la perdre… putain ! lâcha-t-il, sa voix brisée. Ses mains lâchèrent le cube qui tomba sur le sol avec un bruit sourd, comme si toutes ses forces l'avaient quitté d’un coup. Ses épaules s'affaissèrent, et il se prit la tête entre les mains, cherchant un souffle qui ne venait plus.

Le silence envahit la pièce, lourd, oppressant. Amine, Michou, tous regardaient Inox, mais personne ne savait quoi dire. La tension était palpable. Inox était au bord du gouffre, la douleur dans son cœur écrasante. Il n’avait jamais vraiment exprimé ce qu’il ressentait pour Seyna, pas avec des mots, du moins. Et maintenant, il craignait de la perdre sans lui avoir avoué ce qu’il portait en lui.

— Passe, fréro, souffla Michou avec douceur, tendant la main vers le cube.

Inox, épuisé et abattu, leva les yeux vers son ami, cherchant un peu de réconfort dans ce regard rassurant. Il hocha faiblement la tête, ramassa le Rubik’s Cube et le tendit à Michou. C’était sa seule chance. Il n’avait plus la force de continuer.

Michou prit le cube et l'examina. Son regard concentré se posa sur les différentes faces, mais il n’avait pas plus d’expérience qu’Inox dans la résolution de ce genre de puzzle. D’un geste maladroit, il essaya de tourner une face, mais mit trop de pression. Le cube se disloqua soudain sous ses doigts. Des morceaux de plastique volèrent en éclats, tombant sur le sol.

— Mais putain ! On vient de perdre Seyna ! hurla Amine, la voix pleine de colère et de désespoir. Il ne croyait plus en la solution, et cette explosion de stress était sa manière d’évacuer.

— Non ! Attends ! s’écria Michou. On peut le remettre, regarde !

Michou, concentré, se mit à réassembler rapidement les pièces du Rubik's Cube. Ses mains allaient et venaient, pressées par le temps qui filait. Le cube semblait à nouveau entier, mais plus qu’entier, il était… résolu. Par un coup de chance ou de génie, Michou avait terminé le puzzle.

Inox resta figé un instant, regardant le cube comme s’il ne croyait pas ce qu’il voyait. Puis, soudain, il hurla de soulagement, un cri plein d’espoir, d’émotion, de vie. Sans perdre un instant, il se précipita vers sa combinaison, enfila rapidement le casque et prit le cube dans ses mains, prêt à tout pour sauver Seyna.

— Va le rapporter aux enchanteresses, mais reste connecté, dit Amine, la voix encore tremblante d'angoisse.

Inox hocha la tête avec détermination. Il s’enfonça dans les couloirs labyrinthiques des Backrooms, chaque pas résonnant dans l’espace vide et oppressant. Le temps semblait s’étirer, chaque seconde pesait lourd. Son souffle était rapide, son cœur battait à tout rompre, mais il avançait, poussé par l’idée de retrouver Seyna.

Il finit par arriver devant les enchanteresses, ces figures mystérieuses qui régnaient sur cet endroit étrange. Tremblant, il leur tendit le Rubik’s Cube, son seul espoir.

— Parfait. Maintenant, tu n’as plus qu’à la retrouver. Elle est sauve, dirent-elles, énigmatiques.

Sans attendre, Inox se retourna et courut, le cœur serré, vers l’endroit où Seyna avait été laissée. Chaque pas semblait durer une éternité, mais enfin, il atteignit la pièce. Là, allongée, Seyna semblait dormir, les yeux fermés, mais elle respirait. Le tube qui la maintenait en vie était toujours en place.

— Putain, Seyna…, murmura Inox en s’agenouillant près d’elle, la gorge nouée.

Il posa une main tremblante sur son bras, réalisant à quel point il avait eu peur de la perdre. À cet instant, il se promit de la protéger, peu importe ce qu’il faudrait. Même s'il devait se sacrifier, c'était elle qui devait vivre.

Valider ?
Vraiment désolée du retard avec les cours et les problème familial et tout voilà quoi !