ℳ𝒶𝓇𝒾𝒶𝓂 : 𝒍𝒊𝒆́𝒔 𝒑𝒂𝒓 𝒏𝒐𝒔 𝒄œ𝒖𝒓𝒔 ♡

19.

Pdv AMIR.

Mariam : regarde la table !!

Sort-elle  en me donnant une petite tapette sur la nuque.

Elle est jalouse.

Ce qui me fait énormément rire.

Mariam : en plus tu rigole ? Je ne toléré que tu regarde un autre sous mes yeux !

Même derrière ton dos je le ferai pas.

Mariam : répond quand je te parle stp.

Moi : mhh...

C'est tout ce qui sorti de ma bouche.

Pourquoi je fais ça ?

C'est juste pour l'énervé.

Je sais que c'est pas très gentil de ma part mais j'aime le faite qu'elle ne supporte pas que je ne lui parle pas.

Mariam : vraiment toi t'es.....

Elle laissa sa phrase en suspant et s'apprêtait en s'en allez.

Mais je la retiens par la main.

Moi : reste.

Même si elle c'est ré-assise l'air pas très enchantée je sais qu'elle est contente.

Ça se vois sur son visage.

Elle est certes très bavarde mais elle est pudique sur ses sentiments .

Un peu comme moi mais en pire.

Je la regarde.

Ses lèvres brillaient en raison du gloss qu'ils avaient.

Oooh ses lèvres roses et pulpeuses avec un naturel contour marron.

Ses yeux marron foncé fessant pensé à du noire en amande  était juste magnifique.

Je pourrais les regarder durant des heures sans jamais m'en lassé.

Ses petites joues ressemble à des nuages la rendant mignonne.

Et lui donne aussi un petit air enfantin.

Tout chez cette femme est parfais.

Même si aucun être n'est parfait, à mes yeux elle l'est.

Je pense qu'elle senti mon regard puisqu'elle ce mît à me fixer.

Mariam : pourquoi tu me regarde ?

Moi : je n'ai même plus le droit de regarder ma femme ?

Elle me regarde juste puis s'en va.

Le truc avec la femme n'est toujours pas passé ?

Je crois bien que oui.

Maison.
23h30.

Étant sorti de la salle de bain il y'a plusieurs minutes de cela.

Je portais un jogging et un t-shirt pour ne pas changer.

Mariam était toujours sous la douche.

Quelques minutes après je la vis sortir avec juste comme habille...

....une serviette.....

Ce dirigeant vers le dressing sans même un regard pour moi.

Sous sa serviette, ses fesses montais et redessandaient de haut en bas.

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