Dans le silence des ombres, un cœur qui se meurt,
Les larmes s'égrènent, comme une pluie de pleurs.
Les souvenirs dansent, fantômes égarés,
Dans un monde sans rires, où l'espoir s'est tari.Sur le chemin des rêves, les échos se brisent,
Chaque pas résonne, comme une triste prémisse.
Les promesses murmurées s'estompent dans le vent,
Et le temps, indifférent, les emporte lentement.Une rose s'effeuille, ses pétales en larmes,
Chaque couleur s'efface, laissant place au drame.
Les éclats de tendresse, désormais en morceaux,
Se perdent dans la nuit, comme un chant sans écho.Oh, mélancolie, douce amie des jours gris,
Tu t'infiltreras dans chaque rire, chaque cri.
Car au fond de l'âme, une tristesse demeure,
Un vide abyssal, là où bat un cœur en pleurs.Le ciel pleure des étoiles que l'on ne voit plus,
Des rêves envolés, des instants perdus.
Et dans cette nuit sombre, où l'espoir a fui,
Je cherche une lumière, mais seuls demeurent les cris.