Qui est la salope qui l'empêche de dormir.

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Les rues de la ville si animé à toute heure du jour était silencieuse et déserte, en même temps c'était normal aussi tard dans la nuit. Ce calme lui plaisait. Il prit la direction du parc à un kilomètre de chez lui ou la jeune fille l'avait entrainé la veille.

Il y avait un endroit dans le parc qui était un peu isolé. Entouré d'une haie de sapin et on y entrait par une arche de vigne. C'était un petit jardin partagé, mis à disposition des voisins et visiteur. Un endroit bien sympathique et pourtant peu fréquenté, raison pour laquelle le garçon aimait y venir pour écrire et être au calme. Il s'assit sur le banc au centre du petit carré de pelouse, posa son ordinateur portable et commença à écrire.

Il n'eut pas besoin de se creuser la tête pour chercher quoi raconter. Puisque le but était de chasser la belle à la peau d'ébène de son esprit, il entreprit d'écrire un condensé de tous les fantasmes qu'elle lui inspirait. Avant que le ciel ne se lève, il avait écrit pas moins de sept pages bien remplie.

Il était satisfait. La thérapie par l'écriture avait certes été longue, mais elle avait fait son office, il arrivait enfin à penser clairement. D'un coup toute la fatigue d'une nuit sans dormir s'abattit sur lui. Heureusement, c'était encore les vacances d'été, il pourrait faire une petite sieste pour un peu récupérer. D'ailleurs c'était ce qu'il ferait dès qu'il serait rentré.

Il bailla et s'étira.

« J'ai enfin réussi à me débarrasser de cette salope, soupira-t-il. Foutue démone qui me prive de mes heures de sommeil.

« Et qui est donc cette salope, interrogea une voix féminine avec intérêt.

Adrien qui se croyait seul fut surpris et sursauta. Leva les yeux de son ordinateur portable, il vit l'objet de ses fantasmes occuper à cueillir une petite grappe de raison situé un peu en hauteur. Il sauta pour l'attraper ce qui fit tressauter sa généreuse poitrine ce qui l'amena à admirer le reste de sa personne. De ses longues jambe au trait fin de son visage, en pensant bien évidement par ses longues jambe fine et joliment musclée, en passant par son imposant et magnifique fessier et sa taille fine. Il n'en fallait pas plus pour que ruiné tous ses efforts de la nuit.

Un sourire espiègle qui apparut sur les lèvres de la jeune fille, elle n'était pas dupe de l'examen qu'elle venait de subir, mais elle ne dit rien. Parfois, une attitude en disait plus que cent mots.

« Que fais-tu ici, demanda-t-il.

« Je faisais mon jogging, matinal.

« Si tôt. Il est à peine sept heures du matin.

« Qu'est-ce que tu crois, un corps aussi magnifique que le miens, ça s'entretien. D'ailleurs, tu ne vas pas t'en plaindre, j'ai vu comment, tu me regardais.

Le garçon ainsi confronté, réagis comme un petit enfant pris en faute et se mit à bafouiller.

«Euh... Je... Désolé.

« Pas grave. Tu peux regarder autant que tu veux, mais interdit de toucher, le taquina-t-elle.

Encore puceau à l'âge de Dix-huit ans et n'ayant même jamais eu vraiment de petite amie, le pauvre Adrien était loin d'être armée pour gérer une fille avec autant de mAlya. Pourtant, il savait que s'il ne lui répondait pas de manière approprie, il deviendrait son jouet.

« C'est embêtant ça, j'avais prévus de te botté le cul, samedi.

« Tu peux toujours rêvé, mon petit. La fessé c'est moi qui te la donnerai et elle sera plus mémorable que toute c'elle que ta mère t'a donnée.

La jeune fille leva les yeux au ciel et dit de manière sarcastique.

« C'est vrai que j'ai tellement envie de toucher ce petit cul de blanc osseux et décharner.

Un sourire de prédateur apparu sur la lèvre de la jeune fille.

« Paris tenu, visage pale. Tu n'as aucune chance.

« N'en soit pas si certaine, les courses d'endurance c'est ma spécialité.

« Tu regardes les jeux olympique. La plupart des champion d'athlétisme son noir. Les noirs son plus fort que les blancs c'est bien connu.

« C'est peut-être vrai, mais si tu veux te lancer dans un duel de stéréotype, je te ferrais remarquer que les hommes son censé être plus que les femmes. Ca s'équilibre, tu ne penses pas.

Alya ne réagit pas à cette pique de la manière supposé par le garçon. Il pensait qu'elle s'offusquerait devant cette remarque machiste, mais elle se contenta de dire avec assurance et pragmatisme :

« Hé bien. Nous verrons bien qui est le plus fort entre un garçon blanc et une fille noir. On pourrait même s'affronter d'en d'autre discipline, comme la natation, la lutte ou le bras de fer.

Adrien ne put retenir un sourire ironique. Il n'était certes pas un grand sportif, mais il avait tout de même trois ans de plus et était un garçon.

« Entraine-toi, bien.

« Je le suis déjà surement bien plus forte que toi.

Adrien sur de l'inéluctabilité de sa victoire, se contenta de sourire en disant:

« Samedi, nous apportera la réponse à cette question. Ceci dit un conseil, ne sous-estime pas la détermination d'un garçon à qui on à promis de toucher des fesses comme les tienne en cas de victoire.

Alya rigola.

« Pervers, s'esclaffa-t-elle. Mais toi qu'est-ce que tu fais ici de si bon matin.

« Je n'arrivais pas à dormir à cause de la chaleur, alors je suis venu ici pour écrire.

« Oh, tu écris. Sur quoi ?

La question ne l'aurait pas déranger d'ordinaire, mais la étant donné le sujet de l'histoire et ce qui l'avait inspiré, mieux valait s'abstenir. Il décida de répondre de manière générale

« Sur un peu de tout. Des Fanfiction, des histoires d'héroic fantasy ou des histoires d'horreur.

« Et là, tu écris sûr qu'elle sujet ? Insista-t-il au grand embarras d'Eward.

« Dison que je le classerais dans la catégorie tranche de vie. Le genre de récit ennuyeux que je ne publie jamais sur le net.

« Alors pourquoi, écris-tu sur le sujet si cela t'ennuie ?

« Je n'ai pas dit que cela m'ennuyais personnellement, mais que cela serait ennuyeux pour le lecteur. Quand quelque chose me trouble ou me perturbe au point de m'obséder ou de m'énerver c'est un bon moyen de me sortir ça de la tête.

« D'où, la référence à la salope mentionné quand je suis arrivé. Qui est ce ? Pas moi, j'espère.

Alya avait dit cela sur le ton de la plaisanterie, mais cela ne le fit pas du tout rire. La réaction n'échappa pas à la jeune fille.

« Attends ? C'est moi sérieusement.

Rencontre dans le parc Shjp Alya X AdrienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant