Sierra:Au cœur de la mafia colombienne

Chapitre 2: Soirée mouvementée

Coucou vous allez bien?

⚠️TW: agression sexuelle/traumatisme.

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Je me dirige vers la sortie.

Je n'étais pas attentive à ce qu'il y avait devant moi.

D'un coup je percuta un torse.

L'homme me toisa.

Moi: Oh pard-

...:Putain tu peux pas faire attention.

Je releva le regard vers son visage. Je le reconnue immédiatement.

Lui...
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Lorenzo Alvarez...

Je pensais qu'il n'était pas venu mais je me suis visiblement trompée.

Il est vêtu d'un costar noir.
Ses cheveux châtains sont décoiffés.Il est très grand la différence de taille est énorme. Il est très musclé. Son teint est matte.
Ses yeux sont verts. Ses sourcils sont froncés ce qui montre son agacement. Son regard reflète sa colère.

Il m'interrompa soudainement dans ma contemplation.

Lorenzo: Oh tu ne sais pas parler?

Je me racla la gorge.

Moi: Excuse-moi mais je n'ai pas fait exprès de te bousculer et tu l'as très bien vu. Pas la peine de s'énerver.

Lorenzo: La prochaine fois tâche de regarder devant toi petite conne.

J'hausse les sourcils.

Moi: Et toi la prochaine fois tâche de bien parler je vois que ta mère ne t'a pas très bien éduqué.

Je savais quand disant cette phrase il allait s'énerver. J'ai fait quelques recherches de mon côté et j'ai appris que sa mère n'avait pas été présente dans sa vie. J'allais bien évidemment en profiter pour appuyer là où ça fait mal.

Je le contourne pour me diriger vers l'ascenseur.

Mais je sentis sa main attraper mon bras.
Lorenzo me retourna vers lui.

Sa mâchoire se contracta son regard était haineux. Je pense qu'il n'a pas vraiment apprécié mes paroles.

Ça me fait doucement rire.

Nos corps étaient collés. On se regarda dans les yeux sans que personne ne détourne le regard.

Lorenzo:Sais-tu à qui tu parles ?

Je leva les yeux aux ciel en soufflant d'agacement.

Moi: Sûrement un pauvre con mais peu importe je m'en fou.

Soudain il me plaqua contre le mur en m'attrapant la gorge.

Il exerçait une pression au niveau de ma gorge ce qui m'empêchait de respirer.

Lorenzo: Je te vais te prévenir une seule et unique fois,compris?

Moi:Et si...je ne veux pas comprendre qu'est-ce que...tu vas faire?

Il approcha sa bouche de mon oreille et il me susurra:

Lorenzo: Et bien si tu ne veux pas comprendre je te tuerais doucement et ça sera douloureux. Et je te promets de le faire sans hésiter.

Il marque une pause.

Il recula et me regarda dans les yeux.

Lorenzo:Maintenant je te préviens c'est la dernière fois que tu me manques de respect et surtout ne t'avise plus jamais de parler de ma mère.