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Bar: 𝑳𝒂 𝑪𝑨𝒁𝑼𝑬𝑳𝑨, 𝐁𝐨𝐠𝐨𝐭𝐚 22h04










𝑷𝑫𝑽 : 𝐀𝐃𝐑𝐈𝐀𝐍𝐀



— Qu'est ce que c'est que ce BORDEL, hurle un Carlos enragé.




Mes hommes ont leurs armes braquées sur lui n'attendant qu'un seul ordre de ma part.



Il a été assez idiot pour croire que je viendrai sans protection. Je me prépare à toutes éventualités lors de mes missions, si le plan A échoue, le B fonctionnera.


Je ne sors que très rarement seule, sur maintes disputes avec mon père car selon lui je devrais impérativement être entourée même si je sais me défendre sans grande difficulté.



Toutes les personnes présentes sur les lieux se sont tues pour nous observer. J'imagine que ce n'est pas la première fois qu'il s'y produit des confrontations de ce genres ici.


Mon rire raisonne d'une manière glaciale dans la situation.



— 𝑀𝑒𝑢 𝐷𝑒𝑢𝑠 (mon dieu), m'exaspérais-je. Bon, épargne moi tes excès d'hormones veux-tu, je grimace en le voyant fondre en larmes.
Faut croire que la dignité c'est pas donner à tout le monde.

Je me demande ce que je vais faire de lui...

— Je SuIs dEsoLé...jE ne VoUlaiS p-p...pas.

Ohh, pour l'amour du ciel voilà maintenant qu'il me fais le coup du puceau qui va draguer son béguin.


— Alors petit Carlito, comme je suis de bonne humeur ce soir je te propose quelques choses.

L'effet est immédiat, son visage s'éclaircit.
Il croit avoir une porte de sortie. J'ai presque pitié de sa naïveté.


Je prononce donc d'une voix impassible:



— Soit tu bénéficies d'une mort lente et douloureuse, soit 𝘁𝘂 te donne la mort de ton propre grès comme le lâche que tu es...




Il devient livide.

— N..non s'il vous plaît geint-il.

— Je n'ai pas plus de temps à perdre avec toi alors 𝗰𝗵𝗼𝗶𝘀𝗶 !! Je tranche sans contestation.

Ses yeux se voilent de haine.

Il reste ainsi pendant de longues secondes puis
remonte son armes sur sa tempe l'index sur la gâchette.

— 𝑇𝑢 𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑖𝑒𝑟𝑎𝑠...ce sont ses dernières paroles avant que le son de la détente ne ceinte dans l'atmosphère.


Son corps s'écroule par terre dans un bruit sourd.
𝑄𝑢𝑒𝑙 𝑙𝑎̂𝑐ℎ𝑒, tu parles d'un dealer, n'empêche je plains ses hommes. Cela n'a pas dû être facile d'être au service d'un bouffon comme lui.



Mais bon, je dois dire que ça m'arrange quand même. Au moins je ne serai pas relié à lui directement si les autorités Colombiennes décident d'y fourrer leur nez, même si certains sont assez lucides pour ne pas s'approcher des zones de trafic...



— Chefe, qu'est ce qu'on fait de lui. M'interpelle Jao, qu'on peut qualifier comme mon bras droit.

Cheveux châtains, un visage symétrique, des yeux bruns perçant et un corps plus que bien sculpté. C'est un très bel homme et aussi un des plus compétent dans mes rangs.


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