7. Crise

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Elena:

L'infirmière tourne brusquement la tête vers Elio qui vient de rentrer dans la pièce et répond timidement.

- Oui c'est ça les pompiers sont venus.

Ses yeux sont rivés sur Elio passant de son visage et son corps sans aucune gêne. Elio lui est en train de poser ses affaires dos à l'infirmière.

- C'est moi qui ai besoin de soins si jamais. Lui dit-je irrité par ses regards.

Elio se tourne pour voir l'infirmière le fixer puis se tourne dans ma direction un sourire aux lèvres.

Je ne l'aimais pas se sourire. Tout comme lui d'ailleurs.

L'infirmière baisse la tête et part fermant la porte derrière elle. Je me re concentre sur Elio toujours avec son sourire affiché sur son visage.
Il prend enfin la parole.

- T'étais pas obligé d'être si sèche elle a le droit de profiter. Il montre en même temps sont corps de ses mains.

La grosse tête qu'il a, comment il passe les portes ?

- Je voulais juste qu'elle se re concentre sur moi pour ne pas faire une connerie je m'en fou qu'elle regarde ça. Je désigne sont corp d'une mine dégoûté.

- Pourtant tu t'en foutais pas quand tu me matais dormir.

Donnez moi de la patience je vais faire une connerie.

- Elio ?

Il acquiesce d'un signe de tête me disant de continuer.

- Ferme cette jolie bouche avant que je ne te gifle.  Repris-je avec ses mots.

Il sourit avant de répliquer à son tour.

- Si tu savais ce que peut faire cette jolie bouche beauté. Repris-t'il à son tour avec mes mots.

J'affiche une mine dégoûtée à se surnom.

- Tu pouvais pas juste finir normalement sans le surnom ça aurait été semblable à l'original. Dis-je avec un ton blasé.

- J'ai préféré remixer l'original un peu fade. Répond-t-il.

Fade ? Et ta mère elle est fade aussi ?

- Rien n'est fade venant de moi surtout se qui sort de ma bouche.

Il relève la tête dans ma direction répriment un sourire.

- Ça va les chevilles. Me dit-il ses yeux descendent sur mes chevilles.

Le culot définition : open the gillemew.

Ta gueule non ?

- C'est toi qui dit ça ? « Elle a le droit de profiter ». L'imites-je exagérant ses propos.

Il souffle en secouant la tête. Il est trop gentil. On ne s'est pas insulté et il ne m'a pas dit de la fermer c'est bizarre. J'ai l'impression qu'il ne veux pas qu'on arrête de parler, mais pourquoi ?

Je reçois un message de Bruno je lui ai laissé tout en charge le temps de gérer cette histoire.

Bruno: Tu t'est remise ? La prochaine fois essaye de faire ça quand tu n'est pas menacé par des centaines de personnes prêtent à tu tuer.

Moi: Ça va du moment que c'est une centaine on peu gérer.

Je souris à son message drôle. Elio me regarde et regarde mon téléphone.

Jusqu'à ce que les armes nous séparentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant