9. Retrouvailles

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TW: Meurtre, torture, description de blessures précises , passée douloureux.

Inconnu:

Je la regarde parler avec l'homme que j'ai envoyé juste pour elle, j'espère qu'elle le reconnaîtra. Je fixe ses formes dans sa robe remontant jusqu'à son dos nu caché par ses cheveux, elle a bien grandi depuis elle me paraît plus sanglante plus... meurtrière.

Elle n'est plus la fille frêle que j'ai connu à peine capable de tenir debout, torturer et salis.
Je rebrousse chemin sortant pour reprendre le chemin de la planque espérant ne pas n'être fait voir par qui que ce soit.

Dommage que je ne puisse pas voir ce qu'elle réserve comme sort à cet homme, j'aurais l'occasion de le voir plus tard.

Elena:

J'attends que l'homme réponde à mon interrogation silencieuse, je fixe son visage ses traits me semblant familiers. Je vois un léger sourire s'affiche sur son visage.

- Oui intrigué vous...êtes captivante. Me dit l'homme d'une voix suave avec un accent espagnol prononcé.

- Merci..? Je laisse ma phrase en suspens.

- Antonio. Me dit-il simplement.

J'ai l'impression de tomber de mon tabouret quand il me dit son nom, je le détail un peu plus des souvenirs remontant dans ma mémoire. Mes poils se hissant sur mes bras.

J'ai le reflex de me relever instantanément de mon tabouret toujours mon regard fixé sur lui.
Son visage me paraît si loin et si proche en même temps.

Je reste très calme debout contre la bar bien que je panique intérieurement.

- Je vois que tu as fait le rapprochement brave fille. Il se lève à son tour se rapprochant de moi.

Je me contente de le fixé, sentant des fourmillements m'envahir et mes joues chauffer.

- Engourdissements, je présume ? Me dit-il avec un sourire sur les lèvres.

- Tu as mis quoi dans mon verre enflure. Demandais-je mon corps devant plus lourd à porter.

- Moi ? Rien voyons je ne suis pas comme ça. J'essaye de me concentrer sur sa voix luttant contre l'évanouissement.

Je pose une main sur le bar essayant tant bien que mal de rester droite et concentrer.

- Eh bien tu es coriace, une brindille comme toi devrais déjà être tombé.

Je tique au surnom. Brindille. Je cherche immédiatement Elio du regard sans le trouver.
Je panique sachant que je ne tarderai pas à m'évanouir mes yeux ayant du mal à rester ouvert.

Je sens sa main remonter le long de mon bras j'essaye de me reculer mais je suis comme paralysé par sa drogue, je ne lutte plus mes yeux se ferment instantanément dès que je résiste plus.

Je me sens tomber c'est la dernière chose que je me souviens.

Elio:

J'ouvre doucement les yeux essayant de m'adapter à la lumière de la pièce, on dirait une sorte de cave j'essaye de bouger mais me rends très vite compte que je suis attaché les bras tendus au dessus de ma tête.

Je regarde la pièce la détaillant dans les moindres détails essayant de trouver un détail qui pourrai m'aider, la pièce est humide et sens le renfermé, le sol est froid et tout est entièrement gris éclairé par une lumière blanche.

Jusqu'à ce que les armes nous séparentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant